Dans son discours de bilan, le président de la CMM a informé l’assistance que la CMM suit avec intérêt le processus en cours de la relecture du Code minier malien. Depuis longtemps ce souhait des opérateurs miniers de se voir désormais régis par un seul et unique code minier au Mali tardait à se concrétiser. En effet, trois codes miniers en vigueur dans notre pays ne peuvent qu’apporter du désordre en empêchant la bonne lisibilité dans le secteur.
Le président Abdoulaye Pona a rappelé que le dossier de la relecture des textes régissant la Chambre des mines du Mali a été déposé sur la table de l’Assemblée nationale. Il a assuré que la vigilance des élus de la CMM ne sera jamais prise à défaut pour ce qui est relatif aux questions ou décisions qui engagent ce secteur. Au cours de l’année 2018 qui s’achève, les représentations de la CMM des régions de Kayes, de Koulikoro, de Sikasso, de Ségou et de Mopti ont été toutes équipées en matériels informatiques à leur grande satisfaction, s’est réjoui M. Pona.
«L’année 2018 est l’année de l’environnement à la chambre des Mines du Mali. En effet, nombre de nos activités ont consisté à éveiller la conscience de nos ressortissants sur les dangers liés, par exemple, à l’usage du mercure et du cyanure, sur les placers et sur les risques encourus par nos cours d’eau, principalement le fleuve Niger du fait de l’exploitation anarchique par dragues», a révélé le président de la CMM.
Il est convaincu que conformément à ses missions d’organisation et de représentation des acteurs miniers au Mali, la CMM est résolument engagée dans une croisade contre l’usage du mercure et du cyanure par les orpailleurs.
Depuis 2016, la CMM a participé à toutes les rencontres de l’Union africaine (UA), de la CEDEAO et de l’UEMOA, avec en toile de fond la mise œuvre effective de la vision minière africaine et la coopération minière communautaire. En juillet 2019, le Mali accueillera à Bamako, la réunion du Conseil exécutif et celle de l’Assemblée générale de la fédération des Chambres des mines de la CEDEAO (EFEDCOM).
Mahamane Maïga
Le président Abdoulaye Pona a rappelé que le dossier de la relecture des textes régissant la Chambre des mines du Mali a été déposé sur la table de l’Assemblée nationale. Il a assuré que la vigilance des élus de la CMM ne sera jamais prise à défaut pour ce qui est relatif aux questions ou décisions qui engagent ce secteur. Au cours de l’année 2018 qui s’achève, les représentations de la CMM des régions de Kayes, de Koulikoro, de Sikasso, de Ségou et de Mopti ont été toutes équipées en matériels informatiques à leur grande satisfaction, s’est réjoui M. Pona.
«L’année 2018 est l’année de l’environnement à la chambre des Mines du Mali. En effet, nombre de nos activités ont consisté à éveiller la conscience de nos ressortissants sur les dangers liés, par exemple, à l’usage du mercure et du cyanure, sur les placers et sur les risques encourus par nos cours d’eau, principalement le fleuve Niger du fait de l’exploitation anarchique par dragues», a révélé le président de la CMM.
Il est convaincu que conformément à ses missions d’organisation et de représentation des acteurs miniers au Mali, la CMM est résolument engagée dans une croisade contre l’usage du mercure et du cyanure par les orpailleurs.
Depuis 2016, la CMM a participé à toutes les rencontres de l’Union africaine (UA), de la CEDEAO et de l’UEMOA, avec en toile de fond la mise œuvre effective de la vision minière africaine et la coopération minière communautaire. En juillet 2019, le Mali accueillera à Bamako, la réunion du Conseil exécutif et celle de l’Assemblée générale de la fédération des Chambres des mines de la CEDEAO (EFEDCOM).
Mahamane Maïga