Selon Ibrahim Coulibaly, membre de l’AFAD, la corruption est en nette progression dans le pays, d’où la mise en œuvre du projet. D’une durée de 12 mois, le projet couvrira le District de Bamako.
«Le choix de Bamako est dû au budget du projet qui ne peut prendre en charge tout le territoire. En plus, Bamako est la zone de concentration des Institutions et de toutes les administrations. Or, elles sont des secteurs en grande partie concernées par la corruption», précise-t-il. Avant de promettre qu’un comité de pilotage sera mis en œuvre pour permettre faire l’état de lieux de la lutte contre la corruption.
Pour Ahmed Sékou Diallo, directeur exécutif de l’AFAD, le lancement de ce projet a été fait grâce aux efforts consentis par l’AFAD et le partenaire OSIWA. Aussi, l’activiste social fait savoir qu’il ne s’agira pas de faire le gendarme. Il s’agira tout juste de demander à qui de droit pourquoi toutes les actions fournies pour contrer la corruption restent vaines.
Selon lui, l’objectif visé est la sensibilisation du public malien pour qu’il ait au moins un éveil de conscience.
Quant à Youssouf Keita, représentant de Stop Sahel, il pense que la nécessité d’agir s’impose à tous. Car, dit-il, la corruption nourrit l’impunité et l’impunité à son tour nourrit la corruption. Pour mettre terme à tout cela, il faut que la société civile s’assume à influencer le pouvoir politique d’agir contre les fauteurs.
Mahamane MAIGA
«Le choix de Bamako est dû au budget du projet qui ne peut prendre en charge tout le territoire. En plus, Bamako est la zone de concentration des Institutions et de toutes les administrations. Or, elles sont des secteurs en grande partie concernées par la corruption», précise-t-il. Avant de promettre qu’un comité de pilotage sera mis en œuvre pour permettre faire l’état de lieux de la lutte contre la corruption.
Pour Ahmed Sékou Diallo, directeur exécutif de l’AFAD, le lancement de ce projet a été fait grâce aux efforts consentis par l’AFAD et le partenaire OSIWA. Aussi, l’activiste social fait savoir qu’il ne s’agira pas de faire le gendarme. Il s’agira tout juste de demander à qui de droit pourquoi toutes les actions fournies pour contrer la corruption restent vaines.
Selon lui, l’objectif visé est la sensibilisation du public malien pour qu’il ait au moins un éveil de conscience.
Quant à Youssouf Keita, représentant de Stop Sahel, il pense que la nécessité d’agir s’impose à tous. Car, dit-il, la corruption nourrit l’impunité et l’impunité à son tour nourrit la corruption. Pour mettre terme à tout cela, il faut que la société civile s’assume à influencer le pouvoir politique d’agir contre les fauteurs.
Mahamane MAIGA