Selon lui, à la date d’aujourd’hui, nous comptons 87 patients infectés au Mali. Ce chiffre, malheureusement, regrette-t-il, irait crescendo dans les jours à venir, si le mal déroulait chez nous son impitoyable mécanique, comme il l’a fait ailleurs, répandant le deuil sur son passage, suscitant partout peur et angoisse, et malmenant les économies les plus solides.
« Car le mal est chez nous, nous devons serrer les rangs, unis et mobilisés à tout instant. Nous devons le vaincre. Nous pouvons le vaincre. Avec plus de vigilance, avec plus de discipline, dans la sérénité et dans la solidarité. J’y reviendrai », a ajouté M. Keita.
Le président IBK affirme que contre l’arme de destruction massive qu’est le coronavirus, chacune de nous, chacun de nous, je le répète, doit être une digue, une digue pour lui-même, une digue pour sa famille, une digue pour sa communauté, une digue pour la nation, une digue pour l’humanité. Car c’est de civisme qu’il s’agit. C’est d’être à la hauteur des enjeux qu’il s’agit. De cela, nous sommes bien capables.
Or, le voulons-nous tous ? Non, car nous nous attroupons encore dans les mairies. Nous nous bousculons dans les transports en commun. Nous nous serons les mains sans souci, comme si ceux qui ont à cœur de respecter les mesures édictées manquaient juste de courage et de bon sens.
Consciemment et inconsciemment, beaucoup d’entre nous continuent d’être les vecteurs de l’épidémie. Ils le font contre eux-mêmes, ils le font contre leurs familles, ils le font contre le Mali.
Adou FAYE
« Car le mal est chez nous, nous devons serrer les rangs, unis et mobilisés à tout instant. Nous devons le vaincre. Nous pouvons le vaincre. Avec plus de vigilance, avec plus de discipline, dans la sérénité et dans la solidarité. J’y reviendrai », a ajouté M. Keita.
Le président IBK affirme que contre l’arme de destruction massive qu’est le coronavirus, chacune de nous, chacun de nous, je le répète, doit être une digue, une digue pour lui-même, une digue pour sa famille, une digue pour sa communauté, une digue pour la nation, une digue pour l’humanité. Car c’est de civisme qu’il s’agit. C’est d’être à la hauteur des enjeux qu’il s’agit. De cela, nous sommes bien capables.
Or, le voulons-nous tous ? Non, car nous nous attroupons encore dans les mairies. Nous nous bousculons dans les transports en commun. Nous nous serons les mains sans souci, comme si ceux qui ont à cœur de respecter les mesures édictées manquaient juste de courage et de bon sens.
Consciemment et inconsciemment, beaucoup d’entre nous continuent d’être les vecteurs de l’épidémie. Ils le font contre eux-mêmes, ils le font contre leurs familles, ils le font contre le Mali.
Adou FAYE