lejecom  Le journal de l’économie Malienne

Publicité


Lancement du Programme conjoint BCEAO/HEC Paris de renforcement des capacités du secteur bancaire de l'UMOA le 18 Juin AVIS A MANIFESTATION D’INTERET POUR LA SELECTION D'UN CABINET DE CONSULTANTS CHARGE DE LA CONCEPTION DE COURS, ET DE MODULES DE FORMATION EN EDUCATION FINANCIERE AINSI QUE DE L'ANIMATION DE SESSIONS DE FORMATION DES FORMATEURS DANS L'UEMOA AVIS A MANIFESTATION D'INTERET POUR LA SELECTION D’UN CABINET CHARGE DE LA DEFINITION ET DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE COMMUNICATION EN EDUCATION FINANCIERE DANS L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) Appel à candidatures pour la 43e promotion du cycle diplômant du Centre Ouest-Africain de Formation et d’Etudes Bancaires (COFEB) La hausse des inégalités affecte plus des deux tiers de la planète La Fédération des Sociétés d’Assurance de Droit National Africain (FANAF) tient sa 44ème Assemblée Générale Annuelle du 17 au 20 Février à Libreville au Gabon, sous le thème général : « La Donnée et l’Innovation au Cœur de l’Assurance Africaine » Dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d’interopérabilité des services financiers numériques dans l’UEMOA, la Banque Centrale organise du 14 au 18 janvier 2019, au Siège de la BCEAO à Dakar, un atelier de lancement consacré au démarrage des trav UMOA : Le Comité de Politique Monétaire de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO)  tiendra, le mercredi 5 décembre 2018, sa quatrième réunion ordinaire au titre de l’année 2018 dans les locaux du Siège de la BCEAO à Dakar  Prix Abdoulaye FADIGA:Un prix d’encouragement a été remis à Mes. Aboudou Ouattara, Kouamé Désiré Kanga et Ruben Barnabas Djogbenou, co-auteurs de l'article «Hétérogénéité des économies de la CEDEAO : Quel défi pour une politique monétaire commune ? » Vigninou GAMMADIGBE, lauréat du Prix Abdoulaye FADIGA pour la Promotion de la recherche économique 2018 auteur de l’article : « Survie des banques de l'UEMOA : les nouvelles exigences de fonds propres sont-elles pertinentes ?  »

Loi de Finances 2018 : Des prévisions de recettes à plus 1957 milliards FCFA

Mercredi 7 Février 2018

Votée par les députés le samedi 23 décembre 2017, la loi de Finances 2018 porte un budget-programme, conformément à la Loi n°2013-028 du 11 juillet 2013, modifiée, relative aux lois de finances.


Loi de Finances 2018 : Des prévisions de recettes  à plus 1957 milliards FCFA
Les prévisions au niveau des recettes s’élèvent à 1957 milliards 625 millions de francs Cfa contre 1 811 milliards 494 millions de francs Cfa dans le budget rectifié de 2017. Ce qui se traduit par une augmentation de 8,07% imputable à l’accroissement des recettes du budget général, des budgets annexes et des comptes spéciaux du Trésor.
Comme l’a dit Dr. Boubou Cissé, ministre de l’Economie et des Finances, l’originalité de la loi de finances 2018 est qu’elle consacre désormais l’adaptation du système de gestion budgétaire du Mali aux meilleurs standards internationaux, avec notamment sa présentation en mode programmes, conformément à la loi n°2013-028 du 11 juillet 2013, modifiée, relative aux lois de finances. En s’inscrivant ainsi dans les principes de la mise en œuvre du cadre harmonisé de la gestion des finances publiques au sein des pays membres de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) le Mali devient ainsi le 2ème pays de l’espace communautaire à franchir ce pas, après le Burkina Faso.
On indique qu’avec un produit intérieur brut (Pib) nominal de 8 322 milliards Fcfa en 2016, 8 868 milliards FCFA en 2017  et 9 445 milliards de FCFA et pour 2018, le taux de croissance réelle du Pib est estimé à 5,8%, sur les trois dernières années.  A préciser que ces hypothèses macroéconomiques du cadrage budgétaire 2018 ont été utilisées principalement pour projeter le niveau des recettes fiscales et non fiscales.
Il faut noter que le taux de croissance économique projeté pour 2018 s’établit à 5,0%, contre 5,3% en 2017 et un taux d’inflation de 1,8% contre 1,0% en 2017. Ce qui suppose que malgré un tout léger repli, le taux de croissance reste solide. La croissance  est soutenue par des investissements publics et surtout ceux destinés aux secteurs agricole et tertiaire qui sont porteurs de croissance.
Mahamane Maïga
 














Inscription à la newsletter