L’invite leur a été faite par les responsables qui se sont adressés à eux lors de la cérémonie de clôture de la 14ème session de formation qui s’est tenue ce vendredi 12 avril au Centre africain d’études supérieures en gestion (Cesag).
Le directeur général du CESAG, M. Serge Auguste Bayala conseille ainsi les jeunes leaders de préserver le réseau du Yali constitué de 2400 initiés, pour participer à la transformation de l’Afrique.
Il leur demande ainsi d’aller au-delà du cadre délimité par les frontières ou rendre ces frontières virtuelles pour arriver à cette fin.
Cette suggestion a été adressée à la 14ème session du CRL YALI qui a réuni, pendant cinq semaines dont deux en ligne et trois résidentielles à Dakar, 100 jeunes leaders représentant 16 pays africains avec une participation de 52% des femmes.
Les services de YALI Dakar renseignent qu’ils ont renforcé leurs compétences en leadership dans les domaines de l’entrepreneuriat, de l’engagement citoyen et de la gestion des administrations publiques.
De l’avis de M. Bayala, les modules de renforcement de capacité délivrés dans le cadre du programme YALI participent à « armer » les jeunes leaders pour amorcer les grands défis du développement du continent.
Il demande ainsi plus d’implication du secteur privé dans le processus de formation et assurer une pérennité des centres de formation.
A cela s’ajoute la participation des politiques notamment les représentations diplomatiques ainsi que les partenaires financiers pour que leurs jeunes aient une oreille attentive dans les actions à mener.
Pour galvaniser les troupes, M. Bayala notifie aux jeunes leaders que « la tâche est énorme mais elle n’est pas insurmontable. Il nous appartient de ne pas baisser les bras ».
Abondant dans le même sens, la directrice adjointe de l’USAID au Sénégal, Mme Sala Ba salue les outils développés dans le cadre de cette formation qui, selon elle, va permettre aux jeunes leaders de se développer en tant qu’acteur de leurs communautés respectives capables de contribuer à l’essor du continent africain.
Elle juge impressionnante la diversité des expériences et la créativité des participants.
Mme Ba a transmis l’espoir de la directrice de l’USAID qui dit souhaiter voir le programme Yali contribuer à stimuler la croissance et la prospérité, renforcer la gouvernance démocratique et améliorer la paix et la sécurité sur le continent.
« L’Afrique a besoin de vous et je sais que vous saurez répondre à son appel car vous êtes les précurseurs d’une nouvelle ère qui s’ouvre au continent, de nouvelles perspectives de développement».
Mme Ba estime qu’avec l’expertise acquise par ces jeunes, c’est un nouveau paradigme de développement qui se met en place.
Elle nourrit l’espoir de voir ces jeunes doter l’Afrique de structures fortes et d’un leadership toujours en avant-poste du développement socio-économique de ce continent.
Selon elle, par son envergure sous régional et son ambition continentale voir mondiale, le programme YALI cristallise beaucoup d’espoirs partagés par l’ensemble des nations impliquées dans la mise en réseau de leur jeunesse respective.
Elle rappelle que le YALI est une opportunité de renforcement de capacité pour des centaines voire des milliers de jeunes comme ceux issus de cette 14ème session.
Mariama Diallo
Le directeur général du CESAG, M. Serge Auguste Bayala conseille ainsi les jeunes leaders de préserver le réseau du Yali constitué de 2400 initiés, pour participer à la transformation de l’Afrique.
Il leur demande ainsi d’aller au-delà du cadre délimité par les frontières ou rendre ces frontières virtuelles pour arriver à cette fin.
Cette suggestion a été adressée à la 14ème session du CRL YALI qui a réuni, pendant cinq semaines dont deux en ligne et trois résidentielles à Dakar, 100 jeunes leaders représentant 16 pays africains avec une participation de 52% des femmes.
Les services de YALI Dakar renseignent qu’ils ont renforcé leurs compétences en leadership dans les domaines de l’entrepreneuriat, de l’engagement citoyen et de la gestion des administrations publiques.
De l’avis de M. Bayala, les modules de renforcement de capacité délivrés dans le cadre du programme YALI participent à « armer » les jeunes leaders pour amorcer les grands défis du développement du continent.
Il demande ainsi plus d’implication du secteur privé dans le processus de formation et assurer une pérennité des centres de formation.
A cela s’ajoute la participation des politiques notamment les représentations diplomatiques ainsi que les partenaires financiers pour que leurs jeunes aient une oreille attentive dans les actions à mener.
Pour galvaniser les troupes, M. Bayala notifie aux jeunes leaders que « la tâche est énorme mais elle n’est pas insurmontable. Il nous appartient de ne pas baisser les bras ».
Abondant dans le même sens, la directrice adjointe de l’USAID au Sénégal, Mme Sala Ba salue les outils développés dans le cadre de cette formation qui, selon elle, va permettre aux jeunes leaders de se développer en tant qu’acteur de leurs communautés respectives capables de contribuer à l’essor du continent africain.
Elle juge impressionnante la diversité des expériences et la créativité des participants.
Mme Ba a transmis l’espoir de la directrice de l’USAID qui dit souhaiter voir le programme Yali contribuer à stimuler la croissance et la prospérité, renforcer la gouvernance démocratique et améliorer la paix et la sécurité sur le continent.
« L’Afrique a besoin de vous et je sais que vous saurez répondre à son appel car vous êtes les précurseurs d’une nouvelle ère qui s’ouvre au continent, de nouvelles perspectives de développement».
Mme Ba estime qu’avec l’expertise acquise par ces jeunes, c’est un nouveau paradigme de développement qui se met en place.
Elle nourrit l’espoir de voir ces jeunes doter l’Afrique de structures fortes et d’un leadership toujours en avant-poste du développement socio-économique de ce continent.
Selon elle, par son envergure sous régional et son ambition continentale voir mondiale, le programme YALI cristallise beaucoup d’espoirs partagés par l’ensemble des nations impliquées dans la mise en réseau de leur jeunesse respective.
Elle rappelle que le YALI est une opportunité de renforcement de capacité pour des centaines voire des milliers de jeunes comme ceux issus de cette 14ème session.
Mariama Diallo