Selon des experts, une énergie fiable et abordable permet aux industries et aux petites entreprises d'être compétitives et d'être actives sur les marchés régionaux et mondiaux. En favorisant l’accès à l’énergie, cela peut contribuer à développer le secteur de l’industrie au Mali.
Toutefois, le rythme de la production énergétique ne suit pas toujours le discours politique prononcé par la tutelle. S’adressant particulièrement aux opérateurs économiques industriels, le ministre du Développement industriel a soutenu que seule une forte redynamisation du « Made in Mali » peut nous permettre de participer, la tête haute, aux échanges avec les autres pays au lieu de les subir et de compter, sur notre juste valeur, au sein de l’espace communautaire, compte tenu de l’existence d’un admirable génie industriel malien qu’il importe de préserver, d’encourager et de valoriser.
Pour ce faire, Mohamed Aly Ag Ibrahim, a promis que l’Etat jouera sa partition pour donner un nouveau souffle à l’industrialisation de notre pays. ‘’Mais c’est aux chefs d’entreprises industrielles d’abord que revient la charge la plus déterminante du vaillant effort à déployer dans ce sens’’, a-t-il indiqué.
Côté secteur privé malien, des entreprises pourraient tirer profit si on assure un meilleur accès à l'électricité pour développer le secteur alimentaire. En témoigne les difficultés soulevées par le secrétaire général de la Fédération nationale des producteurs d’huile d’aliment bétail du Mali (FENAPHAB). Boubacar Sidiki Diabaté déplore le coût de l’électricité et l’absence de zone industrielle pour accueillir leurs usines.
Face à cette situation handicapante, le secrétaire général de la FENAPHAB suggère à la tutelle d’instaurer un climat favorable à la compétitivité et de faire de l’industrie le moteur de croissance et de développement économique de notre pays.
Mahamane Maïga
Toutefois, le rythme de la production énergétique ne suit pas toujours le discours politique prononcé par la tutelle. S’adressant particulièrement aux opérateurs économiques industriels, le ministre du Développement industriel a soutenu que seule une forte redynamisation du « Made in Mali » peut nous permettre de participer, la tête haute, aux échanges avec les autres pays au lieu de les subir et de compter, sur notre juste valeur, au sein de l’espace communautaire, compte tenu de l’existence d’un admirable génie industriel malien qu’il importe de préserver, d’encourager et de valoriser.
Pour ce faire, Mohamed Aly Ag Ibrahim, a promis que l’Etat jouera sa partition pour donner un nouveau souffle à l’industrialisation de notre pays. ‘’Mais c’est aux chefs d’entreprises industrielles d’abord que revient la charge la plus déterminante du vaillant effort à déployer dans ce sens’’, a-t-il indiqué.
Côté secteur privé malien, des entreprises pourraient tirer profit si on assure un meilleur accès à l'électricité pour développer le secteur alimentaire. En témoigne les difficultés soulevées par le secrétaire général de la Fédération nationale des producteurs d’huile d’aliment bétail du Mali (FENAPHAB). Boubacar Sidiki Diabaté déplore le coût de l’électricité et l’absence de zone industrielle pour accueillir leurs usines.
Face à cette situation handicapante, le secrétaire général de la FENAPHAB suggère à la tutelle d’instaurer un climat favorable à la compétitivité et de faire de l’industrie le moteur de croissance et de développement économique de notre pays.
Mahamane Maïga