Sans doute, il a invité les potentiels investisseurs, participant au Forum sur l’investissement à Dubaï, à parier sur la destination Mali, sur la destination Afrique, au bénéfice des opérateurs économiques ainsi que des populations.
Le Forum annuel de Dubaï sur les investissements se veut une plateforme dédiée à l’examen des mutations intervenues dans le marché financier et à la recherche de solutions pratiques de nature à relever les défis posés à travers des activités facilitant le contact entre les investisseurs et les décideurs et l’accès des porteurs de projets aux sources de financement.
En faisant un parallèle entre la situation du pays en 2012 où peu de gens osaient parier sur son devenir économique, le chef de l’État a laissé entendre qu’en l’espace de quatre ans, le cadre macroéconomique a été assaini et de nombreux indicateurs montrent des évolutions encourageantes.
À titre illustratif, il a cité le taux de croissance économique robuste enregistré par le Mali,avec une moyenne annuelle de l’ordre de 6 % ; le dynamisme entrepreneurial sans précédent des jeunes qui représentent 65 % de la population malienne.
Aussi, il y a l’amélioration substantielle du climat des affaires qui place le Mali dans le peloton de tête des pays de l’UEMOA, avec des incitations fiscales très avantageuses ; un budget d’État qui priorise les secteurs moteurs de l’économie (agriculture, industrie, commerce).
S’y ajoutent les dépenses en faveur des forces armées et de sécurité, le secteur social, notamment en faveur des couches les plus vulnérables et les investissements structurants pour booster l’économie ; et enfin des avancées notables au niveau du retour de la paix et de la sécurité à travers la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation.
Atouts et ambitions du Mali
Autre atout, autre prouesse que le président IBK a mis en exergue : la mise en œuvre d’un programme intense de réformes du climat des affaires par notre pays qui lui a valu cette année 2017 le classement de 1er pays meilleur réformateur de la zone UEMOA. De la révélation de l’invité d’honneur du Forum, ces réformes ont porté principalement sur la facilitation des procédures de création d’entreprises, l’obtention du permis de construire et le règlement de l’insolvabilité. À cela s’ajoute le fait que le Mali a décidé cette année, a-t-il indiqué, d’allouer une grande partie du budget national à la réalisation d’infrastructures pour environ 175 millions d’euros (115 milliards de FCFA) et aussi adopter une Loi sur le Partenariat Public Privé (PPP) pour créer un cadre juridique favorable à l’investissement privé dans les secteurs des infrastructures.
Mahamane Maïga
Le Forum annuel de Dubaï sur les investissements se veut une plateforme dédiée à l’examen des mutations intervenues dans le marché financier et à la recherche de solutions pratiques de nature à relever les défis posés à travers des activités facilitant le contact entre les investisseurs et les décideurs et l’accès des porteurs de projets aux sources de financement.
En faisant un parallèle entre la situation du pays en 2012 où peu de gens osaient parier sur son devenir économique, le chef de l’État a laissé entendre qu’en l’espace de quatre ans, le cadre macroéconomique a été assaini et de nombreux indicateurs montrent des évolutions encourageantes.
À titre illustratif, il a cité le taux de croissance économique robuste enregistré par le Mali,avec une moyenne annuelle de l’ordre de 6 % ; le dynamisme entrepreneurial sans précédent des jeunes qui représentent 65 % de la population malienne.
Aussi, il y a l’amélioration substantielle du climat des affaires qui place le Mali dans le peloton de tête des pays de l’UEMOA, avec des incitations fiscales très avantageuses ; un budget d’État qui priorise les secteurs moteurs de l’économie (agriculture, industrie, commerce).
S’y ajoutent les dépenses en faveur des forces armées et de sécurité, le secteur social, notamment en faveur des couches les plus vulnérables et les investissements structurants pour booster l’économie ; et enfin des avancées notables au niveau du retour de la paix et de la sécurité à travers la signature de l’accord pour la paix et la réconciliation.
Atouts et ambitions du Mali
Autre atout, autre prouesse que le président IBK a mis en exergue : la mise en œuvre d’un programme intense de réformes du climat des affaires par notre pays qui lui a valu cette année 2017 le classement de 1er pays meilleur réformateur de la zone UEMOA. De la révélation de l’invité d’honneur du Forum, ces réformes ont porté principalement sur la facilitation des procédures de création d’entreprises, l’obtention du permis de construire et le règlement de l’insolvabilité. À cela s’ajoute le fait que le Mali a décidé cette année, a-t-il indiqué, d’allouer une grande partie du budget national à la réalisation d’infrastructures pour environ 175 millions d’euros (115 milliards de FCFA) et aussi adopter une Loi sur le Partenariat Public Privé (PPP) pour créer un cadre juridique favorable à l’investissement privé dans les secteurs des infrastructures.
Mahamane Maïga