Pour le président du patronat malien, nombre de travailleurs sont engagés dans le travail saisonnier ou temporaire ou opèrent comme des micro-entrepreneurs ou des entreprises familiales. Cela nécessiterait des programmes communautaires de développement économique local, s’appuyant sur des principes coopératifs et le renforcement des réseaux sociaux.
« Le monde du travail se transforme avec la 3è révolution industrielle qui a créé la distribution et provoqué aussi la naissance d’un mono système économique fondé sur le partage et les communautés collaboratives », a fait savoir Mamadou Sinsy Coulibaly. Avant d’ajouter que cette période de transition voit la disparition progressive du capitalisme classique et la naissance d’une économie de production dont le coût marginal, tend vers zéro.
En sa qualité de dirigeant et employeur, il a donné sa vision. «L’entreprise n’est plus au centre de la création de la richesse, on deviendra tous mi-producteurs mi-consommateurs», a-t-il souligné. Avant de suggérer : «Nous devons retenir que le code du travail n’est pas le code de l’emploi. Le droit du travail n’est pas un droit au marché du travail. Il faut libérer les employeurs des contraintes ».
Aussi, le président du patronat malien a lancé ce défi : « Aucun dirigeant politique au monde n’a, aujourd’hui, un plan B pour l’avenir du travail. Le monde de demain appartiendra à ceux qui savent s’adapter… ».
Enfin, il a réaffirmé l’engagement du CNPM de jouer sa partition pour accompagner les réformes et de faire face aux mutations pour le travail de demain.
Mahamane Maïga
« Le monde du travail se transforme avec la 3è révolution industrielle qui a créé la distribution et provoqué aussi la naissance d’un mono système économique fondé sur le partage et les communautés collaboratives », a fait savoir Mamadou Sinsy Coulibaly. Avant d’ajouter que cette période de transition voit la disparition progressive du capitalisme classique et la naissance d’une économie de production dont le coût marginal, tend vers zéro.
En sa qualité de dirigeant et employeur, il a donné sa vision. «L’entreprise n’est plus au centre de la création de la richesse, on deviendra tous mi-producteurs mi-consommateurs», a-t-il souligné. Avant de suggérer : «Nous devons retenir que le code du travail n’est pas le code de l’emploi. Le droit du travail n’est pas un droit au marché du travail. Il faut libérer les employeurs des contraintes ».
Aussi, le président du patronat malien a lancé ce défi : « Aucun dirigeant politique au monde n’a, aujourd’hui, un plan B pour l’avenir du travail. Le monde de demain appartiendra à ceux qui savent s’adapter… ».
Enfin, il a réaffirmé l’engagement du CNPM de jouer sa partition pour accompagner les réformes et de faire face aux mutations pour le travail de demain.
Mahamane Maïga