
Pour Cheick Oumar Soumano, organisateur principal du Forum, cette édition offre des opportunités aux jeunes ambitieux, aux porteurs de projets, soucieux de leur avenir, aux étudiants, aux promoteurs et aux cadres d’entreprises. Cela est possible, à travers des panels, des formations, des succes stories, etc.
Par ailleurs, il a souligné l’intérêt de la thématique de cette 2ème édition. Il s’agit pour eux de susciter le débat sur la problématique liée à la promotion de l’entrepreneuriat féminin. Le défi d’appliquer de manière effective les politiques de protection pour les femmes dans les milieux de travail, les impacts de la politique nationale de l’emploi sur les femmes et enfin les stratégies pour améliorer l’entrepreneuriat féminin.
Au Mali, nombre de femmes désireuses d’évoluer dans le secteur de l’entrepreneuriat féminin ont des difficultés liées à l’accès au crédit et au financement. S’y ajoutent les tracasseries administratives et le manque de confiance en soi.
Peu d’acteurs du secteur privé se mobilisent pour trouver le financement adéquat. L’action de soutenir ces femmes permettra de faire de la promotion du genre une réalité.
Plus qu’un droit humain, l’égalité des sexes est un facteur de stabilité et de construction d’une société pacifique et durable. Il est judicieux de faire des soutiens visant à sortir les femmes de l’assistanat, avec comme objectif l’émergence de petites entreprises permettant aux femmes d’intervenir dans l’économie réelle du pays.
Au Mali, les femmes possèdent un potentiel énorme dans l’entrepreneuriat, a affirmé Drissa Coulibaly ; directeur et initiateur principal du Salon de l’entreprenariat féminin au Mali dénommé “Feminia”. Pour lui, les femmes exercent dans les domaines de compétences acquises dans la sphère familiale. Elles évoluent très généralement dans l’informel avec un capital faible, a-t-il soutenu, demandant aux autorités politiques d’engager une réelle volonté politique pour encourager et soutenir le leadership féminin.
Mahamane Maïga
Par ailleurs, il a souligné l’intérêt de la thématique de cette 2ème édition. Il s’agit pour eux de susciter le débat sur la problématique liée à la promotion de l’entrepreneuriat féminin. Le défi d’appliquer de manière effective les politiques de protection pour les femmes dans les milieux de travail, les impacts de la politique nationale de l’emploi sur les femmes et enfin les stratégies pour améliorer l’entrepreneuriat féminin.
Au Mali, nombre de femmes désireuses d’évoluer dans le secteur de l’entrepreneuriat féminin ont des difficultés liées à l’accès au crédit et au financement. S’y ajoutent les tracasseries administratives et le manque de confiance en soi.
Peu d’acteurs du secteur privé se mobilisent pour trouver le financement adéquat. L’action de soutenir ces femmes permettra de faire de la promotion du genre une réalité.
Plus qu’un droit humain, l’égalité des sexes est un facteur de stabilité et de construction d’une société pacifique et durable. Il est judicieux de faire des soutiens visant à sortir les femmes de l’assistanat, avec comme objectif l’émergence de petites entreprises permettant aux femmes d’intervenir dans l’économie réelle du pays.
Au Mali, les femmes possèdent un potentiel énorme dans l’entrepreneuriat, a affirmé Drissa Coulibaly ; directeur et initiateur principal du Salon de l’entreprenariat féminin au Mali dénommé “Feminia”. Pour lui, les femmes exercent dans les domaines de compétences acquises dans la sphère familiale. Elles évoluent très généralement dans l’informel avec un capital faible, a-t-il soutenu, demandant aux autorités politiques d’engager une réelle volonté politique pour encourager et soutenir le leadership féminin.
Mahamane Maïga