Selon la même renseigne que FinAfrique se positionne aujourd’hui comme le premier cabinet de conseil panafricain réunissant au sein de son actionnariat une soixantaine d’experts hommes et femmes engagés, originaires d’une quinzaine de pays d’Afrique et d’Europe, et cumulant une double expérience (africaine et internationale).
Ce nouveau modèle d’intervention, explique-t-on, se matérialisera par la création en début d’année 2019 de 3 Bureaux régionaux respectivement à Abidjan, Douala et Nairobi.
Boris Picano-Nacci, ancien trader, aujourd’hui consultant spécialisé dans la modélisation financière, fait son entrée en tant que nouvel actionnaire et le justifie ainsi :« J’ai commencé par accompagner FinAfrique en tant que Formateur puis en tant que Consultant. Sur le volet Formation, j’ai tout de suite adhéré au projet de former les Cadres du continent africain, sur place, plutôt que d’en faire sortir les talents pour les former en Europe ce qui multiplierait les coûts.
Ces expériences m’ont profondément enrichies. Il me semblait donc naturel de continuer à accompagner le développement du cabinet, cette fois en m’engageant personnellement et financièrement ».
Selon Latyr Mbodj, autre nouvel actionnaire et consultant spécialisé dans les marchés financiers, « le potentiel en Afrique, dans tous les secteurs, n’est plus à démontrer ». Cette participation au Projet FinAfrique lui permettra « de contribuer significativement à l’essor
des infrastructures financières d’Afrique Subsaharienne » tel qu’il l’a toujours souhaité.
Ismaila BA
Ce nouveau modèle d’intervention, explique-t-on, se matérialisera par la création en début d’année 2019 de 3 Bureaux régionaux respectivement à Abidjan, Douala et Nairobi.
Boris Picano-Nacci, ancien trader, aujourd’hui consultant spécialisé dans la modélisation financière, fait son entrée en tant que nouvel actionnaire et le justifie ainsi :« J’ai commencé par accompagner FinAfrique en tant que Formateur puis en tant que Consultant. Sur le volet Formation, j’ai tout de suite adhéré au projet de former les Cadres du continent africain, sur place, plutôt que d’en faire sortir les talents pour les former en Europe ce qui multiplierait les coûts.
Ces expériences m’ont profondément enrichies. Il me semblait donc naturel de continuer à accompagner le développement du cabinet, cette fois en m’engageant personnellement et financièrement ».
Selon Latyr Mbodj, autre nouvel actionnaire et consultant spécialisé dans les marchés financiers, « le potentiel en Afrique, dans tous les secteurs, n’est plus à démontrer ». Cette participation au Projet FinAfrique lui permettra « de contribuer significativement à l’essor
des infrastructures financières d’Afrique Subsaharienne » tel qu’il l’a toujours souhaité.
Ismaila BA