L’ordre du jour de cette vingt troisième session portait sur le point d’exécution des recommandations de la session précédente ; des rapports d’activités et financier du centre au 31 décembre 2017. Les administrateurs se sont également penchés sur le projet de programme d’activités et le projet de budget au titre de l’exercice 2018.
Selon le directeur général du Centre, au cours de l’année écoulée, le centre a pu réaliser 85% des activités programmées en plus d’autres activités hors programme ont été réalisées. Les recettes ont été réalisées à plus de 99% par rapport aux prévisions. Le budget prévisionnel pour l’année 2018 est de 1,5 milliard de FCFA. A ses dires sa structure est confrontée à deux problèmes majeurs, qui sont l’insuffisance des experts et les ressources allouées, empêchant le centre de relancer ses activités en vue d’une meilleure prise en charge de l’adéquation entre ses missions, son organisation, et sa gestion.
Dans son allocution, Mme le ministre fera savoir que le Centre a dû suivre l’adoption des textes régissant les laboratoires du bâtiment et des travaux publics. Selon Mme le ministre, si cette adoption va favoriser l’accréditation du CNREX-BTP, elle n’en demeure pas moins le début d’un long et fastidieux processus pour une meilleure professionnalisation des laboratoires privés, notamment en termes de contrôle et de promotion d’excellence a-t-elle rappelé.
Pour l’oratrice, le centre face à sa méconnaissance par le grand public ; la faible implication du CNREX/BTP dans les travaux d'envergure nationale ; l'insuffisance d'infrastructures, de matériels et d'équipements de laboratoire ; l'insuffisance de personnel qualifié ; l'absence de textes réglementant la profession de laboratoire dans le domaine des bâtiments et des travaux publics ; l'insuffisance des ressources allouées à la recherche, Mme le ministre suggère des décisions pragmatiques et concrètes, tout en veillant à leur mise en œuvre efficiente et rationnelle. Pour pallier ces difficultés, selon le ministre, il revient, à la direction de travailler en synergie avec l’ensemble des partenaires. Elle citera des solutions envisagées, à savoir, la mise en œuvre du plan de Communication afin de donner plus de visibilité aux actions du Centre ; la réalisation en collaboration avec la Direction Nationale des Route… Poursuivant elle fera savoir que le centre doit renforcer la collaboration avec d’autres laboratoires partenaires, notamment ceux des pays Africains comme l’Algérie, et le Maroc a-t-elle conclu.
Flani SORA
Selon le directeur général du Centre, au cours de l’année écoulée, le centre a pu réaliser 85% des activités programmées en plus d’autres activités hors programme ont été réalisées. Les recettes ont été réalisées à plus de 99% par rapport aux prévisions. Le budget prévisionnel pour l’année 2018 est de 1,5 milliard de FCFA. A ses dires sa structure est confrontée à deux problèmes majeurs, qui sont l’insuffisance des experts et les ressources allouées, empêchant le centre de relancer ses activités en vue d’une meilleure prise en charge de l’adéquation entre ses missions, son organisation, et sa gestion.
Dans son allocution, Mme le ministre fera savoir que le Centre a dû suivre l’adoption des textes régissant les laboratoires du bâtiment et des travaux publics. Selon Mme le ministre, si cette adoption va favoriser l’accréditation du CNREX-BTP, elle n’en demeure pas moins le début d’un long et fastidieux processus pour une meilleure professionnalisation des laboratoires privés, notamment en termes de contrôle et de promotion d’excellence a-t-elle rappelé.
Pour l’oratrice, le centre face à sa méconnaissance par le grand public ; la faible implication du CNREX/BTP dans les travaux d'envergure nationale ; l'insuffisance d'infrastructures, de matériels et d'équipements de laboratoire ; l'insuffisance de personnel qualifié ; l'absence de textes réglementant la profession de laboratoire dans le domaine des bâtiments et des travaux publics ; l'insuffisance des ressources allouées à la recherche, Mme le ministre suggère des décisions pragmatiques et concrètes, tout en veillant à leur mise en œuvre efficiente et rationnelle. Pour pallier ces difficultés, selon le ministre, il revient, à la direction de travailler en synergie avec l’ensemble des partenaires. Elle citera des solutions envisagées, à savoir, la mise en œuvre du plan de Communication afin de donner plus de visibilité aux actions du Centre ; la réalisation en collaboration avec la Direction Nationale des Route… Poursuivant elle fera savoir que le centre doit renforcer la collaboration avec d’autres laboratoires partenaires, notamment ceux des pays Africains comme l’Algérie, et le Maroc a-t-elle conclu.
Flani SORA