« Il s’agit notamment de la pression démographique, de l’urbanisation rapide mais également de la fiabilité des registres fonciers », énumère la banque. Qui ajoute que les facteurs limitant l’accès au crédit hypothécaire incluent notamment la confluence de faibles revenus des ménages urbains, des taux d’intérêt hypothécaires élevés et de prêts à court terme ou l’absence de financement.
Ainsi, la structure indique que pour répondre à la forte demande de prêts au logement dans la zone Uemoa qui compte environ 125 millions d’habitants, la Caisse régionale de refinancement hypothécaire (Crrh) finance les portefeuilles de prêts au logements émis par ses 55 banques actionnaires en levant des ressources longues sur le marché obligataire régional, et auprès des institutions financières de développement (Ifd). Cela, dit-elle, pour cibler et atteindre les populations à faible et moyen revenu.
A en croire la Bad, la Crrh est un animateur important du marché hypothécaire de l’Uemoa, d’une part en aidant à améliorer les conditions des prêts au logement (allongement de la maturité et réduction du taux d’intérêt) en mobilisant et rétrocédant des ressources longues à des termes attractifs et d’autre part en incitant les banques à s’orienter vers des segments moins desservis de la population, c’est-à-dire les ménages à revenus faibles et intermédiaires.
Bassirou MBAYE
Ainsi, la structure indique que pour répondre à la forte demande de prêts au logement dans la zone Uemoa qui compte environ 125 millions d’habitants, la Caisse régionale de refinancement hypothécaire (Crrh) finance les portefeuilles de prêts au logements émis par ses 55 banques actionnaires en levant des ressources longues sur le marché obligataire régional, et auprès des institutions financières de développement (Ifd). Cela, dit-elle, pour cibler et atteindre les populations à faible et moyen revenu.
A en croire la Bad, la Crrh est un animateur important du marché hypothécaire de l’Uemoa, d’une part en aidant à améliorer les conditions des prêts au logement (allongement de la maturité et réduction du taux d’intérêt) en mobilisant et rétrocédant des ressources longues à des termes attractifs et d’autre part en incitant les banques à s’orienter vers des segments moins desservis de la population, c’est-à-dire les ménages à revenus faibles et intermédiaires.
Bassirou MBAYE