Dans son allocution , la ministre de l’Elevage et de la pêche a avancé des chiffres pour présenter le potentiel de ce sous-secteur. Ce qui place le Mali en première position dans l’espace UEMOA.
« L’élevage est pourvoyeur d’emplois et source de revenus pour plus de 80% de la population de notre pays. Donc un créneau sûr pour la lutte contre la pauvreté. Il occupe la 3ème place des produits d’exportation après l’or et le coton et constitue la principale source de subsistance pour plus de 30% de la population malienne », a rappelé Mme Kané Rokia Maguiraga.
Avant d’estimer : « l’élevage contribue pour environ 19% à la formation du PIB du Mali, 80% au revenu des populations rurales dans les systèmes pastoraux, 18% dans les systèmes agro-pastoraux et 20% des recettes annuelles d’exportation ».
Selon elle, le sous-secteur de l’élevage constitue indubitablement un des piliers forts de la croissance économique et le développement socio-économique du pays.
« L’ambition du Mali d’accorder davantage d’intérêt au sous-secteur pour la réalisation de plus de valeur ajoutée, de plus de revenus pour les producteurs et professionnels des différentes filières animales en plus de la création d’emplois est tout à fait légitime », a laissé entendre le ministre de l’Elevage et de la pêche.
Enfin, le ministre de l’Elevage et de la Pêche a exhorté les responsables du marché de bétail de Niamana à tout mettre en œuvre afin d’éviter l’augmentation du prix de la viande, mais aussi des autres produits animaux de grande consommation durant le mois de ramadan.
Mahamane Maïga
« L’élevage est pourvoyeur d’emplois et source de revenus pour plus de 80% de la population de notre pays. Donc un créneau sûr pour la lutte contre la pauvreté. Il occupe la 3ème place des produits d’exportation après l’or et le coton et constitue la principale source de subsistance pour plus de 30% de la population malienne », a rappelé Mme Kané Rokia Maguiraga.
Avant d’estimer : « l’élevage contribue pour environ 19% à la formation du PIB du Mali, 80% au revenu des populations rurales dans les systèmes pastoraux, 18% dans les systèmes agro-pastoraux et 20% des recettes annuelles d’exportation ».
Selon elle, le sous-secteur de l’élevage constitue indubitablement un des piliers forts de la croissance économique et le développement socio-économique du pays.
« L’ambition du Mali d’accorder davantage d’intérêt au sous-secteur pour la réalisation de plus de valeur ajoutée, de plus de revenus pour les producteurs et professionnels des différentes filières animales en plus de la création d’emplois est tout à fait légitime », a laissé entendre le ministre de l’Elevage et de la pêche.
Enfin, le ministre de l’Elevage et de la Pêche a exhorté les responsables du marché de bétail de Niamana à tout mettre en œuvre afin d’éviter l’augmentation du prix de la viande, mais aussi des autres produits animaux de grande consommation durant le mois de ramadan.
Mahamane Maïga