«Après avoir participé, dimanche, à une session consacrée au partenariat entre le G7 et l’Afrique, le président Adesina présentera à la presse l’initiative Afawa, aux côtés du Président Macron, et en présence de la chanteuse béninoise Angélique Kidjo, ambassadrice internationale de l’Unicef », lit-on dans un communiqué reçu au Journal de l’économie malienne (Lejecom).
Selon le document, l’initiative pour favoriser l’accès des femmes au financement en Afrique, dite « Afawa » a été lancée en mai 2016 lors des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement tenues à Lusaka, en Zambie. Il s’agit d’une initiative panafricaine qui a pour double objectif de combler le déficit de financement, dont souffrent les femmes en Afrique, et de libérer leur capacité à entreprendre.
Ce point de presse s’inscrit dans le cadre d’un Sommet centré autour de la réduction des inégalités, marqué par un partenariat renouvelé avec l’Afrique, qui met en avant la création d’emplois durables et l’appui à l’entreprenariat, en particulier féminin. La France, qui assure la présidence du G7 en 2019, veut faire de l’égalité entre les femmes et les hommes, grande cause du quinquennat du président Emmanuel Macron, une grande cause mondiale.
« Investir dans l’entreprenariat féminin n’est pas seulement une bonne idée, cela a aussi un sens économique », soutient activement le président de la Banque africaine de développement. Akinwumi Adesina doit également participer, lundi, à une session du
G7 consacrée au climat, à la biodiversité et aux océans dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique.
Le Sommet du G7 présente, cette année, un format inédit : à l’initiative du président Macron, huit pays non-membres du G7, dont cinq africains, y sont invités. Il s’agit de l'Afrique du Sud, de l'Australie, du Burkina Faso, du Chili, de l'Égypte, de l'Inde, du Sénégal et du Rwanda.
Le Sommet du G7, ou « Groupe des sept » réunit, chaque année, les chefs d’État et de gouvernement de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni ainsi que les présidents de la Commission et du Conseil européens.
Adou FAYE
Selon le document, l’initiative pour favoriser l’accès des femmes au financement en Afrique, dite « Afawa » a été lancée en mai 2016 lors des Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement tenues à Lusaka, en Zambie. Il s’agit d’une initiative panafricaine qui a pour double objectif de combler le déficit de financement, dont souffrent les femmes en Afrique, et de libérer leur capacité à entreprendre.
Ce point de presse s’inscrit dans le cadre d’un Sommet centré autour de la réduction des inégalités, marqué par un partenariat renouvelé avec l’Afrique, qui met en avant la création d’emplois durables et l’appui à l’entreprenariat, en particulier féminin. La France, qui assure la présidence du G7 en 2019, veut faire de l’égalité entre les femmes et les hommes, grande cause du quinquennat du président Emmanuel Macron, une grande cause mondiale.
« Investir dans l’entreprenariat féminin n’est pas seulement une bonne idée, cela a aussi un sens économique », soutient activement le président de la Banque africaine de développement. Akinwumi Adesina doit également participer, lundi, à une session du
G7 consacrée au climat, à la biodiversité et aux océans dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique.
Le Sommet du G7 présente, cette année, un format inédit : à l’initiative du président Macron, huit pays non-membres du G7, dont cinq africains, y sont invités. Il s’agit de l'Afrique du Sud, de l'Australie, du Burkina Faso, du Chili, de l'Égypte, de l'Inde, du Sénégal et du Rwanda.
Le Sommet du G7, ou « Groupe des sept » réunit, chaque année, les chefs d’État et de gouvernement de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni ainsi que les présidents de la Commission et du Conseil européens.
Adou FAYE