chroniques
Dans son intervention, le PDG Mamady Sissoko a rappelé que la Pharmacie Populaire du Mali joue un rôle fondamental pour assurer la disponibilité et l’accessibilité des médicaments essentiels de qualité au Mali, en tant que fournisseur principal dans le secteur public. « Elle représente aussi l’un des partenaires principaux des bailleurs de fonds internationaux pour la gestion des produits des programmes verticaux. C’est pour cela que son fonctionnement doit s’inscrire dans l’efficacité, la transparence et la qualité dans tous les services qu’elle offre », a-t-il fait savoir.
« La PPM ne peut fonctionner correctement si le système pharmaceutique dont elle fait partie n’est pas bien coordonné, et si les autres institutions clefs n’accomplissent pas toutes leurs responsabilités ».
Par ailleurs, le PDG a indiqué que le projet du budget qui est soumis à l’approbation des administrateurs, empreint de réalisme et d’objectivité, est arrêté en charges à la somme de 10 602 317 000 F CFA et en produits à 10 722 619 000 F CFA soit un résultat prévisionnel de 120 302 000 FCFA.
Il dira que ce résultat est d’autant plus encourageant si l’on sait que la PPM vient de connaitre deux années consécutives des contre-performances avec des résultats d’exploitation négatifs en 2017 et 2018.
A la prise de fonction du nouveau DG, il a indiqué que le défi majeur à relever était de redorer l’image de marque de la Pharmacie Populaire du Mali en restaurant sans délais la confiance auprès des partenaires. Mais aussi à assurer la gestion intégrale de l’accessibilité du médicament sur le territoire national à moindre coût.
En conséquence, il informe les uns et les autres que la PPM aura besoin du concours de tout un chacun pour relever ce défi dans le paiement de ses factures (près 12 milliards de francs CFA) pour lui permettre d’accomplir sa mission afin de maintenir le cap. En plus de ses activités, la PPM assure régulièrement le stockage et la distribution des produits mis à la disposition du Mali par d’autres partenaires techniques et financiers. Il s’agit de l’USAID et l’UNFPA pour les contraceptifs.
Mahamane Maïga
« La PPM ne peut fonctionner correctement si le système pharmaceutique dont elle fait partie n’est pas bien coordonné, et si les autres institutions clefs n’accomplissent pas toutes leurs responsabilités ».
Par ailleurs, le PDG a indiqué que le projet du budget qui est soumis à l’approbation des administrateurs, empreint de réalisme et d’objectivité, est arrêté en charges à la somme de 10 602 317 000 F CFA et en produits à 10 722 619 000 F CFA soit un résultat prévisionnel de 120 302 000 FCFA.
Il dira que ce résultat est d’autant plus encourageant si l’on sait que la PPM vient de connaitre deux années consécutives des contre-performances avec des résultats d’exploitation négatifs en 2017 et 2018.
A la prise de fonction du nouveau DG, il a indiqué que le défi majeur à relever était de redorer l’image de marque de la Pharmacie Populaire du Mali en restaurant sans délais la confiance auprès des partenaires. Mais aussi à assurer la gestion intégrale de l’accessibilité du médicament sur le territoire national à moindre coût.
En conséquence, il informe les uns et les autres que la PPM aura besoin du concours de tout un chacun pour relever ce défi dans le paiement de ses factures (près 12 milliards de francs CFA) pour lui permettre d’accomplir sa mission afin de maintenir le cap. En plus de ses activités, la PPM assure régulièrement le stockage et la distribution des produits mis à la disposition du Mali par d’autres partenaires techniques et financiers. Il s’agit de l’USAID et l’UNFPA pour les contraceptifs.
Mahamane Maïga
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