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Marche des enseignants à Bamako : Ils dénoncent la mauvaise foi du gouvernement et exige l’application des accords conclus avec le gouvernement

Jeudi 7 Mars 2019

Les enseignants maliens sont sortis en masse ce mercredi matin dans les rues pour exiger l’application des accords conclus avec le gouvernement depuis janvier 2017. Aussi, ils dénoncent la mauvaise foi du gouvernement pour n’avoir pas engagé des discussions sincères autour de leurs doléances. Parmi lesquelles on peut noter : l’octroi d’une prime logement, l’accès des services centraux de l’éducation aux fonctionnaires.


Marche des  enseignants à Bamako : Ils dénoncent la mauvaise foi du gouvernement et exige  l’application des accords conclus avec le gouvernement
Les syndicats de l’éducation signataires du 15 octobre 2016 ne baissent pas les bras. En effet, ils ont décidé d’organiser une marche de grande envergure sur toute l’étendue du territoire national. Ainsi, nombre d’enseignants ont battu  le pavé, hier mercredi, dans les rues de  Bamako Cette marche intervient après la publication d’un nouveau préavis de grève de 15 jours en trois étapes : du 11 au 15 mars, du 18 au 22 mars et du 1er au 15 avril 2019.

 Les marcheurs ont dénoncé ce qu’ils appellent ‘’les mauvaises conditions de vie et de travail de l'enseignant malien’’. Sur les dix points de revendications de leur cahier des doléances, seuls trois divisent aujourd’hui les enseignants et le pouvoir. Ces points sont : l’octroi d’une prime de logement ; la relecture immédiate du décret n°529 P-RM du 21 juin 2013, portant allocation d’indemnité au personnel chargé des examens et concours professionnels en ses articles 1,2 et 3 et l’accès des enseignants fonctionnaires des collectivités territoriales aux services centraux de l’État.  

Selon les responsables de ces syndicats, le gouvernement refuse de faire des propositions concrètes sur ces trois points de divergence. Sous le choc, ils  ont fait sortir leurs membres militants  pour dénoncer « la mauvaise foi du gouvernement à engager des discussions sincères autour de leur doléances.  
Avant d’exiger l’application des accords conclus avec le gouvernement depuis janvier 2017.  Ce qui permettrait de trouver une solution définitive à ces mouvements. Au bénéfice de   l’avenir des enfants du peuple d’en bas.
Mahamane Maïga
 
 
 
 














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