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Mali : Le futur Hôtel du Commerce coûtera plus de 6 milliards FCFA au budget national

Lundi 29 Octobre 2018

La révélation a été faite lors de la récente visite du ministre du Commerce et de la Concurrence. Au sortir d’une rencontre avec les responsables de la Direction nationale du Commerce de la Consommation et de la Concurrence (DNCC), Alhassane Ag Ahmed Moussa a jugé nécessaire de se de rendre sur le chantier de l’Hôtel de Commerce en construction sur l’ancien site de la DNCC à Quinzambougou.


Mali : Le futur Hôtel du Commerce coûtera plus de 6 milliards FCFA au budget national
Le futur Hôtel de commerce est un bâtiment de 5 étages. Le projet durera 3 ans et coûtera plus de 6 milliards FCFA au budget national.
 En attendant  la réalisation de cette infrastructure,  le ministre Alhassane Ag Ahmed Moussa a assuré à ses interlocuteurs sa «détermination» à améliorer leurs conditions de vie et de travail. « Il n’y pas d’incompatibilité entre les missions des responsables administratifs et celles des syndicats. «Nous avons le même objectif, le même combat», a-t-il souligné.
Afin de rendre plus efficace la DNCC, le ministre du Commerce propose la révision de certains textes notamment celui relatif à la Distribution. « Il faut une catégorisation des commerçants au Mali. «Ce n’est pas normal, assure l’expert, que tout le monde soit détaillant et grossiste en même temps». Soit on a la patente de détaillant soit on a celle de grossiste, les textes doivent être clairs là-dessus. Une fois le texte disponible, il faudrait l’appliquer avec pédagogie»,  a insisté Alhassane Ag Ahmed Moussa.
 Auparavant, le patron de la DNCC,  Boukadary Doumbia,  a fait le point des réalisations et difficultés que rencontre sa structure. Selon lui, deux projets sont rattachés à sa direction, à savoir: le Projet de Formalisation des Acteurs du Détail ‘’PROFAC’’ et le Projet Cadre Intégré.
Avec 89 agents sur un effectif de 164 agents prévu par le cadre organique, la Direction Nationale du Commerce, de la Consommation et de la Concurrence évolue en sous-effectif. Un déficit de personnel en «quantité» et en «qualité». S’ajoute à un manque de matériels notamment d’équipements informatiques.
 A ces difficultés, le syndicat ajoute celui du manque de véhicules dans les directions régionales et du district de Bamako. Le syndicat a aussi souligné la non application et la nécessité de révision de certains textes.    
Mahamane Maïga

 

 


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