En sa qualité de président en exercice du G5 Sahel, le Chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Keïta ne cesse d’insuffler un nouveau souffle pour faire face aux défis de sécurité, de paix et de stabilité, gages de croissance économique et de développement durable en Afrique particulièrement dans sa partie ouest.
Pour lui, seule une action internationale concertée peut enrayer le terrorisme «véritable menace pour la stabilité des institutions démocratiques et pour un développement économique sain».
C’est dans cet esprit que le président malien préconise: «la mise en cohérence et la maîtrise régionale des initiatives internationales, ainsi que celles des organisations régionale (…) s’avèrent aujourd’hui comme une exigence visant à permettre à l’Afrique et à la communauté internationale d’agir de manière adéquate face aux causes profondes de l’insécurité dans l’ensemble du Sahel».
La conférence de Bamako dont la cérémonie d’ouverture a été co-présidée par le président togolais Faure Gnassingbé, le président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), est organisée sous l’égide de la CEDEAO et en collaboration avec l’Union Africaine (UA) et les Nations unies.
Selon ses initiateurs, cette conférence doit procéder à «une évaluation globale de la situation sécuritaire dans le Sahel et en Afrique de l’Ouest afin de «déterminer les voies et moyens d’intervention les plus aptes à assurer une neutralisation optimale des organisations criminelles» dans l’espace sahélo-saharien et leur expansion en Afrique de l’ouest.
Mahamane MAIGA
Pour lui, seule une action internationale concertée peut enrayer le terrorisme «véritable menace pour la stabilité des institutions démocratiques et pour un développement économique sain».
C’est dans cet esprit que le président malien préconise: «la mise en cohérence et la maîtrise régionale des initiatives internationales, ainsi que celles des organisations régionale (…) s’avèrent aujourd’hui comme une exigence visant à permettre à l’Afrique et à la communauté internationale d’agir de manière adéquate face aux causes profondes de l’insécurité dans l’ensemble du Sahel».
La conférence de Bamako dont la cérémonie d’ouverture a été co-présidée par le président togolais Faure Gnassingbé, le président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), est organisée sous l’égide de la CEDEAO et en collaboration avec l’Union Africaine (UA) et les Nations unies.
Selon ses initiateurs, cette conférence doit procéder à «une évaluation globale de la situation sécuritaire dans le Sahel et en Afrique de l’Ouest afin de «déterminer les voies et moyens d’intervention les plus aptes à assurer une neutralisation optimale des organisations criminelles» dans l’espace sahélo-saharien et leur expansion en Afrique de l’ouest.
Mahamane MAIGA