« En effet, malgré la crise insidieuse qui nous affecte, l’économie nationale se révèle d’une remarquable résilience, avec un taux de croissance soutenu et une inflation maîtrisée. Il ne s’agit pas là d’un phénomène conjoncturel mais d’une tendance lourde depuis 2013 où le taux de croissance économique annuel est de 5%. Nos recettes augmentent et nos dépenses publiques sont de plus en plus maîtrisées », a confié le chef de l’Etat. Selon lui, avec un encours de dette en pourcentage du Pib de l’ordre de 37% pour une tolérance de 70% dans l’espace Cedeao, le Mali est l’un des pays les moins endettés de l’Afrique de l’Ouest.
«Son potentiel d’endettement est loin d’être entamé alors que ses dépenses d’investissement en 2019, ont représenté 34,8% de ses recettes fiscales, c’est-à-dire largement au-dessus de la norme minimale de 20%, fixée par l’Uemoa et la Cedeao », a-t-il expliqué.
Selon M. Keita, c’est compte tenu de tous ces efforts qu’en août 2019, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international, a approuvé un nouveau Programme de facilité élargie pour un montant de près de 192 millions de dollars US, donnant ainsi un signal positif à nos autres Partenaires Techniques et Financiers.
Ensuite, poursuit-il, grâce à l’allocation de 15% du budget national alloué au secteur agricole, conjugué à une bonne pluviosité et au légendaire culte de l’effort du paysan malien, des performances records ont été obtenues. Le président de la République affirme que sans précédent dans les statistiques de notre pays, la production céréalière dépasse les 10 millions de tonnes en 2018/2019.
«En forte progression avec 728 600 tonnes durant la campagne écoulée, le secteur cotonnier connaît un véritable essor avec une augmentation de 65,57 %. Cet effort méritoire s’accompagne, avec cent quatre-vingt-six milliards de nos francs, d’un niveau jamais atteint de recettes en faveur des cotonculteurs », a révélé Ibrahim Boubacar Keita.
Adou FAYE
«Son potentiel d’endettement est loin d’être entamé alors que ses dépenses d’investissement en 2019, ont représenté 34,8% de ses recettes fiscales, c’est-à-dire largement au-dessus de la norme minimale de 20%, fixée par l’Uemoa et la Cedeao », a-t-il expliqué.
Selon M. Keita, c’est compte tenu de tous ces efforts qu’en août 2019, le Conseil d’administration du Fonds monétaire international, a approuvé un nouveau Programme de facilité élargie pour un montant de près de 192 millions de dollars US, donnant ainsi un signal positif à nos autres Partenaires Techniques et Financiers.
Ensuite, poursuit-il, grâce à l’allocation de 15% du budget national alloué au secteur agricole, conjugué à une bonne pluviosité et au légendaire culte de l’effort du paysan malien, des performances records ont été obtenues. Le président de la République affirme que sans précédent dans les statistiques de notre pays, la production céréalière dépasse les 10 millions de tonnes en 2018/2019.
«En forte progression avec 728 600 tonnes durant la campagne écoulée, le secteur cotonnier connaît un véritable essor avec une augmentation de 65,57 %. Cet effort méritoire s’accompagne, avec cent quatre-vingt-six milliards de nos francs, d’un niveau jamais atteint de recettes en faveur des cotonculteurs », a révélé Ibrahim Boubacar Keita.
Adou FAYE