
L’émetteur avait mis en adjudication un montant de 12,5 milliards FCFA. A la fin de l’opération, UMOA-Titres a répertorié des soumissions globales de 18,607 milliards FCFA. Ce qui donne un taux de couverture du montant mis en adjudication de 148,86%.
Le montant des soumissions retenu est de 12,5 milliards FCFA et celui rejeté à 6,107 milliards FCFA. Ce qui correspond à un taux d’absorption de 67,18%.
Les investisseurs dont les soumissions ont été retenues se retrouveront avec un rendement moyen pondéré de 9,42% pour les bons de 197 jours, 10,09% pour ceux de 364 jours et 10,22% pour les obligations.
Le trésor public bissau-guinéen entend rembourser les bons le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 11 novembre 2025 pour ceux de 197 jours et au 27 avril 2026 pour ceux de 364jours. Le paiement des intérêts sera effectué d’avance et précompté sur la valeur nominale de ces bons.
Pour ce qui est du remboursement du capital des obligations, l’émetteur compte le faire le premier jour ouvré suivant la date d'échéance fixée au 23 mars 2028. Le paiement des intérêts se fera par an au taux de 6,3% et ce, dès la fin de la première année.
Omar Maiga
Le montant des soumissions retenu est de 12,5 milliards FCFA et celui rejeté à 6,107 milliards FCFA. Ce qui correspond à un taux d’absorption de 67,18%.
Les investisseurs dont les soumissions ont été retenues se retrouveront avec un rendement moyen pondéré de 9,42% pour les bons de 197 jours, 10,09% pour ceux de 364 jours et 10,22% pour les obligations.
Le trésor public bissau-guinéen entend rembourser les bons le premier jour ouvré suivant la date d’échéance fixée au 11 novembre 2025 pour ceux de 197 jours et au 27 avril 2026 pour ceux de 364jours. Le paiement des intérêts sera effectué d’avance et précompté sur la valeur nominale de ces bons.
Pour ce qui est du remboursement du capital des obligations, l’émetteur compte le faire le premier jour ouvré suivant la date d'échéance fixée au 23 mars 2028. Le paiement des intérêts se fera par an au taux de 6,3% et ce, dès la fin de la première année.
Omar Maiga