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Commerce du détail : Taxes de dédouanement et impôt synthétique trop élevés pour les acteurs

Mardi 17 Avril 2018

Au sortir d’une assemblée générale tenue le samedi 24 mars dernier, des commerçants détaillants ont décidé de fermer boutique à partir de mi-avril. En principe, cette grève devra commencer lundi 16 avril. Pour le moment, l’activité commerciale suit son cours normal à Bamako.


L'impôt synthétique, en raison de l'importance du secteur concerné doit faire l'objet d'une attention particulière et occuper une place conséquente dans l'économie malienne.
 Selon eux, les marchandises des commerçants sont bloquées dans les ports à cause de la douane qui a augmenté les prix de dédouanement. Alors qu’au même moment les impôts, leur demandent 3 % de leurs chiffres d’affaires, ce qui paraît trop élevé pour les détaillants.
 Face à ces problèmes, les commerçants exigent du gouvernement une solution rapide faute de quoi ils fermeront boutiques. “Nous allons tout faire pour avoir satisfaction à nos doléances”, a laissé entendre  le porte-parole Ibrahim Maïga. Avant  d’affirmer  haut et fort que le pays repose à 80 % des recettes des commerçants donc les autorités n’auront pas le choix.
Ainsi, ils exigent une réduction de 80% sur les taxes de dédouanement et  à défaut d’avoir gain de cause, ils sont déterminés à n’engager aucune procédure de dédouanement de leurs marchandises qui sont au niveau des postes de douane, une décision déjà exécutée par certains commerçants.
Selon eux, le prix élevé des taxes du dédouanement s’explique par le fait que la contribution de la douane au budget national  augmente de façon fulgurante et que c’est eux qui en payent les frais. Cependant, ils ont fait savoir que la contribution de la  douane est passée de 200 milliards à  600 milliards pour cette année.
Fort déterminés, les commerçants ont décidé d’accorder deux semaines (à compter du  samedi 24 mars 2018)  au gouvernement pour la satisfaction de leur  requête. Et qu’après ce délai,  ils vont enclencher une grève générale de quelques jours, illimitée sur toute l’étendue du territoire, si l’Etat ne réagit pas.
Mahamane Maïga
 


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