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Commerce du détail : Des acteurs envisagent de baisser les rideaux de leurs bazars

Mardi 3 Juillet 2018

Cette information a été donnée lors d’un meeting tenu le 30 juin 2018 à la Place du souvenir de Bamako. Au cours de cette rencontre, le collectif des commerçants du Mali a décidé d’organiser le jour de l’ouverture de la campagne présidentielle une grève sur toute l’étendue du territoire national. Ce, pour la non satisfaction de leurs doléances.


Au delà de la grève, ils exigent  la démission  de leurs responsables. Il s’agit notamment  de Youssouf Bathily, président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCIM) et de Cheick Oumar Sacko,  président du Syndicat national des commerçants détaillants (Synacodem).
 Pour rappel, ils réclament entre autres « la baisse des frais de dédouanement des marchandises, la facilitation de l’octroi du visa Chinois, la baisse du taux d’impôt de 3% imposable à nos chiffres d’affaires ; l’affectation des bâtiments administratifs sis au marché aux déguerpis et autres commerçants du marché rose ; l’élaboration d’un cahier de charge avant la construction du marché rose ; l’arrêt de la concurrence déloyale des commerçants chinois et indiens ». 
Il faut noter  que les responsables d’une dizaine d’associations de commerçants ont mis en exécution  leur  grève  qui  avait eu lieu  du 3 au 4 mai 2018. Ces acteurs du détail sont parvenus à convaincre nombre de leurs militants pour avoir fermé leurs boutiques.  
 En effet, suite à cette  grève, les négociations avec le gouvernement n’ont pas donné satisfaction aux grévistes. D’où la décision de baisser les rideaux de leurs bazars, une fois de plus. A un moment où  on s’attendra à l’ouverture  de la campagne électorale, prévue le samedi 07 juillet.   
 Evoquant  les 7 doléances, Moussa Sacko, membre du collectif, déplore : « Jusqu’à présent le problème de l’obtention du visa chinois continue. Les gens attendent de 20 heures jusqu’au lendemain soir pour avoir leur visa ».
Sur la même lancée, Ibrahim Maïga, président du collectif, fait savoir que dans  toute la sous-région le dédouanement au Mali est le plus difficile. «Le Mali n’a pas besoin de durcir les conditions du dédouanement », souligné-t-il. Avant de regretter le cas de  7 pays qui ne viennent plus dans notre pays à cause du durcissement des conditions de dédouanement.
Mahamane Maïga 
 



 


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