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CHANGEMENTS CLIMATIQUES : 425 producteurs formés dans le cercle de Banamba

Vendredi 20 Octobre 2017

Le gouvernement du Mali a initié avec l’appui de la Banque Mondiale le Projet de Gestion des Ressources Naturelles dans un contexte de Changements Climatiques (PGRN-CC), pour un montant total de 21,4 millions de $ US, qui couvre les domaines de la gestion durable des terres, la diversité biologique et les changements climatiques au profit des utilisateurs des terres et de l’eau, des agriculteurs, des agropasteurs. Voilà pourquoi, ce projet a initié des séries de formation dans les différentes communes dans la région de Koulikoro et de Kayes.


CHANGEMENTS CLIMATIQUES :  425 producteurs formés dans le cercle de Banamba

Le Projet de Gestion des Ressources Naturelles et Changements Climatiques (PGRN-CC) est un projet d’appui à l’Initiative Grande Muraille verte  (GGWI), lancé en 2005, et approuvé en 2007 par l’Union Africaine, et vise à lutter contre la désertification et l’amélioration des conditions de vie des populations  par la promotion de la GDTE comme une approche plus écologique, socio-économique durable et globale au profit des utilisateurs des terres et de l’eau (agriculteurs, agropasteurs et nomades pastoralismes).

Le projet contribuera à la mise en œuvre des objectifs généraux du programme sahel et Afrique de l’Ouest (SAWAP), en soutien à l’initiative Grande Muraille Verte (GGWI) qui visent à «atteindre la gestion durable des terres et de l’eau aux zones ciblées vulnérables aux changements climatiques en Afrique et dans les pays du Sahel».

Son objectif de développement est «d’amplifier l’adoption des pratiques de Gestion Durables des Terres (GDT) dans les communes cibles au Mali», en vue du renforcement de la résilience des populations vulnérables et des écosystèmes, tout en contribuant à la réalisation des objectifs de l’initiative de la Grande Muraille Verte (GMV) endossée par les pays du Sahel et l’Union Africaine.

Selon le Coordinateur de communication de l’Agence de l’Environnement et du Développement Durable (AEDD), Mahamane KONATE, le PGRN-CC s’articule autour de quatre (04) composantes majeures qui sont entre autre : gestion des connaissances, gouvernance et communication ; mise à l’échelle de pratiques de gestion durable des terres, diversification des modes et moyens de vie locaux, et coordination et suivi et évaluation des activités du projet.

À ses dires, pour la gestion des connaissances, la gouvernance et la communication, l’Agence de l’Environnement et du Développement Durable (AEDD) entend utiliser une partie des ressources financières, en vue d’appuyer la communication pour le renforcement de la résilience.

Flani SORA

 



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