Selon un communiqué de presse, la croissance du Pib est restée positive au Japon (3,0 %), au Canada (1,9 %), aux États-Unis et au Royaume-Uni (1,0 % dans les deux pays) et en Allemagne (0,1 %). Dans les autres sept grandes économies, ajoute la même source, l’Italie et la France, le Pib a reculé (de moins 2,0% et moins 1,3%, respectivement), après de forts rebonds au trimestre précédent (16,0% et 18,5%, respectivement).
Dans la Zone Euro et dans L’Union européenne, le Pib s’est contracté au quatrième trimestre 2020 de (moins) 0,6 % et (moins) 0,4 % respectivement, après des rebonds de 12,4 % et de 11,5 % au trimestre précédent.
Pour l’ensemble de 2020, le Pib a reculé de (moins) 4,9% dans la zone Ocde, soit la plus forte baisse jamais enregistrée (depuis 1962). Presque tous les pays ont été confrontés à une baisse du Pib en 2020. Parmi les sept grandes économies, les baisses du Pib ont été de (moins) 3,5 % aux États-Unis à (moins) 9,9 % au Royaume-Uni. Des baisses marquées du Pib ont également été enregistrées en France (moins 8,2%) et en Italie (moins 8,9 %).
Adou FAYE
Dans la Zone Euro et dans L’Union européenne, le Pib s’est contracté au quatrième trimestre 2020 de (moins) 0,6 % et (moins) 0,4 % respectivement, après des rebonds de 12,4 % et de 11,5 % au trimestre précédent.
Pour l’ensemble de 2020, le Pib a reculé de (moins) 4,9% dans la zone Ocde, soit la plus forte baisse jamais enregistrée (depuis 1962). Presque tous les pays ont été confrontés à une baisse du Pib en 2020. Parmi les sept grandes économies, les baisses du Pib ont été de (moins) 3,5 % aux États-Unis à (moins) 9,9 % au Royaume-Uni. Des baisses marquées du Pib ont également été enregistrées en France (moins 8,2%) et en Italie (moins 8,9 %).
Adou FAYE