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Secteur coton : Le Mali garde sa position de premier producteur

Jeudi 10 Janvier 2019

L’information émane de l’Association Régionale des Producteurs de Coton Africain (AProCA). Sur la base des résultats de la campagne agricole 2017-2018, on apprend que le Mali occupe sa position de premier producteur africain. Toutefois, malgré l’obtention de ce rang, l’AProCA note quelques difficultés majeures ayant entaché cette campagne.


Se basant sur les résultats de la campagne agricole 2017-2018, l’Association Régionale des Producteurs de Coton Africain présente son classement au niveau du secteur en Afrique de l’Ouest. Ainsi,  le Mali occupe sa position de premier producteur africain avec 728 606 tonnes de coton graine. Il arrive ainsi devant le Burkina Faso avec une production de 612 723 tonnes, le Bénin avec 597 373 tonnes, la Côte d’Ivoire avec 413 205 tonnes, le Sénégal avec 13 376 tonnes, le Togo avec 117 166 tonnes et la Guinée en dernière position avec 9 878 tonnes.
Pour la campagne 2018-2019 au Mali, les prévisions vont à 750 000 tonnes.Néanmoins, malgré l’obtention de ce rang, l’AProCA note quelques difficultés majeures ayant entaché cette campagne qui vient de s’écouler notamment les fortes pluies, la présence de la fièvre aphteuse qui a été un coup dur pour le cheptel notamment les bœufs, les dégâts de chenilles légionnaires, etc.

Pour rappel, lors de la présentation de  l’état de la campagne agricole, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture a affirmé que la situation pluviométrique a été caractérisée par un démarrage tardif qui a occasionné un retard dans la mise en place des cultures de manière générale.

« Aussi, par la suite, les pluies ont été normales à excédentaire sur l’ensemble du territoire national par rapport à la dernière campagne agricole », a-t-il fait savoir.
Avant de déplorer que l’abondance des pluies et la forte montée du niveau des crues dans les cours d’eau ont entrainé l’inondation de certaines parcelles agricoles.

«Les évaluations à la date du 20 octobre donnent 6% de pertes en riz et 0,6% de perte sur la culture céréalière sur l’ensemble du territoire national », a-t-il révélé.
S’agissant de la situation phytosanitaire, le conférencier a évoqué des attaques de chenilles légionnaires dans les grands bassins de production de maïs, en début de saison.

De même, soutient-il, vers la fin du mois de septembre, il a été signalé la présence d’oiseaux granivores dans la bande sahélienne du pays notamment à Nioro du Sahel, l’Office du Niger et l’Office riz Mopti.
Mahamane Maïga














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