On y notait la présence du maire du District, Adama Sangaré, des représentants de la délégation régionale de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Mali (CCIM), et ceux des services techniques.
Après des tournées dans plusieurs régions dont Sikasso, Ségou, Koulikoro, Kayes et Mopti afin de mobiliser les différents opérateurs économiques et industriels pour qu’ils puissent saisir les opportunités qui s’annoncent lors de ce Salon, notamment comment se démarquer et se faire remarquer en tant qu’industriel, il est donc d’une importance cruciale, pour le département de l’industrie, de transmettre également l’information, non pas en terme de symbole mais en terme d’évidence.
C’est ainsi que les contours et les enjeux de l’événement à portée internationale ont été présentés lors de la session aux acteurs concernés autour d’un même objectif. Pour le ministère du Développement industriel c’est celui de valoriser le potentiel industriel de notre pays et, surtout, de rendre le Mali compétitif.
« Nous avons estimé qu’il ne sera pas un Salon de Bamako, mais un Salon qui va réunir l’ensemble du Mali. Toutes les Régions y seront représentées », a précisé Mohamed Ali Ag Ibrahim. Avant d’ajouter que les industriels qui ne sont peut être pas connus ou peu connus, auront l’occasion de rencontrer l’international et, du coup, lui proposer ce que nous avons comme potentiels. « Nous avons également mobilisé les Maliens de la diaspora pour qu’ils soient présents », a-t-il indiqué.
Mohamed Ali Ag Ibrahim a annoncé que nous attendons d’autres pays que la Turquie qui est l’invité d’honneur. «Nous avons fait passer le message que nous attendons des industriels pour que nous réussissions un transfert de compétences. Parce que tout simplement, d’un côté, dans notre pays, jusqu’à lors, nous sommes de grands producteurs et cultivateurs, nous sommes dans le secteur primaire et, de l’autre côté, historiquement, nous sommes un pays de négoce par excellence », a-t-il affirmé.
Mahamane Maïga
Après des tournées dans plusieurs régions dont Sikasso, Ségou, Koulikoro, Kayes et Mopti afin de mobiliser les différents opérateurs économiques et industriels pour qu’ils puissent saisir les opportunités qui s’annoncent lors de ce Salon, notamment comment se démarquer et se faire remarquer en tant qu’industriel, il est donc d’une importance cruciale, pour le département de l’industrie, de transmettre également l’information, non pas en terme de symbole mais en terme d’évidence.
C’est ainsi que les contours et les enjeux de l’événement à portée internationale ont été présentés lors de la session aux acteurs concernés autour d’un même objectif. Pour le ministère du Développement industriel c’est celui de valoriser le potentiel industriel de notre pays et, surtout, de rendre le Mali compétitif.
« Nous avons estimé qu’il ne sera pas un Salon de Bamako, mais un Salon qui va réunir l’ensemble du Mali. Toutes les Régions y seront représentées », a précisé Mohamed Ali Ag Ibrahim. Avant d’ajouter que les industriels qui ne sont peut être pas connus ou peu connus, auront l’occasion de rencontrer l’international et, du coup, lui proposer ce que nous avons comme potentiels. « Nous avons également mobilisé les Maliens de la diaspora pour qu’ils soient présents », a-t-il indiqué.
Mohamed Ali Ag Ibrahim a annoncé que nous attendons d’autres pays que la Turquie qui est l’invité d’honneur. «Nous avons fait passer le message que nous attendons des industriels pour que nous réussissions un transfert de compétences. Parce que tout simplement, d’un côté, dans notre pays, jusqu’à lors, nous sommes de grands producteurs et cultivateurs, nous sommes dans le secteur primaire et, de l’autre côté, historiquement, nous sommes un pays de négoce par excellence », a-t-il affirmé.
Mahamane Maïga