Pour la coordinatrice du PGRCI, Mme Mafing Koné, cette conférence-débat a permis de partager avec l’assistance le bilan à mi-parcours, en termes d’acquis enregistrés par le projet. Avec un budget de fonctionnement de plus de 6 milliards de FCFA, le PGRCI a bénéficié d’une assistance financière du PNUD pour accomplir les missions qui lui sont assignées. C’est pour la réalisation de ces missions, que la coordination du projet a mené des campagnes de sensibilisation, en partenariat avec les structures partenaires sur les conséquences néfastes des inondations. Les messages passés ont considérablement contribué à un changement de comportement au niveau de la population.
Toutefois, elle a déploré la lenteur au niveau de l’Etat du Mali qui tarde à verser sa part de contribution financière estimée à plus de 500 millions de francs CFA.
Pour sa part, la représentante du PNUD au Mali, Mme Ag Rissa Mariam Maïga, a situé la rencontre dans son contexte. Elle s’inscrit dans le cadre de la 20ème édition de la Quinzaine de l’environnement. Celle-ci s’est toujours déroulée entre deux dates phares consacrées à la protection de l’environnement. Il s’agit du 5 juin, Journée mondiale de l’environnement et le 17 juin, Journée internationale de la lutte contre la désertification. Ainsi pour la bonne célébration de ces dates, deux thèmes ont été retenus, à savoir : « la pollution de l’air » pour la Journée mondiale de l’environnement et « 25 ans-cultivons l’avenir ensemble » pour la Journée internationale de lutte contre la désertification.
Quant au représentant du directeur général de l’Agence de l’environnement et de développement durable (AEDD) il a souligné l’importance de ces deux évènements. Selon Mohamed A. Maïga, la Journée mondiale de l’environnement est celle la plus importante célébrée par les Nations Unies. Elle vise à accentuer la sensibilisation autour des actions mondiales en faveur de la protection de l’environnement. Celle de la lutte contre la désertification, est une occasion unique de rappeler à tous que ce danger peut être efficacement combattu. Et pour y parvenir, « il important d’envisager des solutions possibles, tout renforçant la participation et la coopération communautaire à tous les niveaux », a suggéré l’expert.
La conférence-débat a été marquée par une série de présentations sur : les prévisions météorologiques et hydrologiques des crues, la pollution de l’air et l’alerte précoce en réponses aux risques d’inondations et leurs impacts sur les secteurs socio-économiques et le développement durable.
Mahamane Maïga
Toutefois, elle a déploré la lenteur au niveau de l’Etat du Mali qui tarde à verser sa part de contribution financière estimée à plus de 500 millions de francs CFA.
Pour sa part, la représentante du PNUD au Mali, Mme Ag Rissa Mariam Maïga, a situé la rencontre dans son contexte. Elle s’inscrit dans le cadre de la 20ème édition de la Quinzaine de l’environnement. Celle-ci s’est toujours déroulée entre deux dates phares consacrées à la protection de l’environnement. Il s’agit du 5 juin, Journée mondiale de l’environnement et le 17 juin, Journée internationale de la lutte contre la désertification. Ainsi pour la bonne célébration de ces dates, deux thèmes ont été retenus, à savoir : « la pollution de l’air » pour la Journée mondiale de l’environnement et « 25 ans-cultivons l’avenir ensemble » pour la Journée internationale de lutte contre la désertification.
Quant au représentant du directeur général de l’Agence de l’environnement et de développement durable (AEDD) il a souligné l’importance de ces deux évènements. Selon Mohamed A. Maïga, la Journée mondiale de l’environnement est celle la plus importante célébrée par les Nations Unies. Elle vise à accentuer la sensibilisation autour des actions mondiales en faveur de la protection de l’environnement. Celle de la lutte contre la désertification, est une occasion unique de rappeler à tous que ce danger peut être efficacement combattu. Et pour y parvenir, « il important d’envisager des solutions possibles, tout renforçant la participation et la coopération communautaire à tous les niveaux », a suggéré l’expert.
La conférence-débat a été marquée par une série de présentations sur : les prévisions météorologiques et hydrologiques des crues, la pollution de l’air et l’alerte précoce en réponses aux risques d’inondations et leurs impacts sur les secteurs socio-économiques et le développement durable.
Mahamane Maïga