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Ce projet vise à améliorer la compétitivité des entreprises des secteurs formel et informel, en adaptant l’offre de formation professionnelle à leurs besoins de compétences.
François Tiroi, directeur de l’Agence française de développement au Mali (AFD), souligne que ce projet a contribué à former des centaines des jeunes pour répondre aux attentes des entreprises employeuses. Pour bien mener ses activités sur le terrain, la coordination de l’ACEFOR s’appuie sur des centres de formation qui sont déjà en place. Aussi, « des appels d’offres ont été faits pour doter les localités qui souffrent pour manque des centres de formation » a dit le directeur de l’AFD.
Il a également fait savoir que des résultats appréciables ont été enregistrés pour cette première phase du projet. Avant d’ajouter que les attentes sont énormes. Parce qu’il s’agit de former le maximum de jeunes maliens, pour qu’ils puisent s’insérer dans la vie professionnelle. Poursuivant, le patron de l’AFD au Mali indique que 9000 jeunes sont prévues pour cette seconde phase projet. Et pour cela, il souhaite que la cadence soit accélérée pour pouvoir répondre aux nombreuses sollicitations des jeunes.
Quant au ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne, Amadou Koita, il estime que la tenue de cette 3ème session du comité de pilotage, marque une étape importante dans la mise en œuvre du projet. Parce qu’il s’agit là, selon lui, de répondre à la problématique d’employabilité des jeunes, tout en renforçant les divers mécanismes déjà en cours.
Depuis 2014, a-t-il rappelé, dans la mise en œuvre de la composante 5, le projet ACEFOR a connu son démarrage, à travers la formation de deux cohortes de 900 jeunes déscolarisés, non scolarisés et finalistes. Cette formation s’est soldée par leur dotation en kits d’insertion dans les métiers du bâtiment comme la maçonnerie, la peinture bâtiment, le carrelage, la pose de pavés etc.
Pour le ministre Koita, ces formations rapides ont suscité un engouement pour les populations bénéficiaires. C’est pourquoi, le département de tutelle a sollicité auprès de l’AFD, la formation d’une troisième cohorte. L’Agence de son côté a répondu favorablement à cette requête, par un financement conséquent pour assurer la formation de 595 jeunes dans toutes les régions du Mali et dans les filières BTP et l’agropastoral.
Mahamane Maïga
François Tiroi, directeur de l’Agence française de développement au Mali (AFD), souligne que ce projet a contribué à former des centaines des jeunes pour répondre aux attentes des entreprises employeuses. Pour bien mener ses activités sur le terrain, la coordination de l’ACEFOR s’appuie sur des centres de formation qui sont déjà en place. Aussi, « des appels d’offres ont été faits pour doter les localités qui souffrent pour manque des centres de formation » a dit le directeur de l’AFD.
Il a également fait savoir que des résultats appréciables ont été enregistrés pour cette première phase du projet. Avant d’ajouter que les attentes sont énormes. Parce qu’il s’agit de former le maximum de jeunes maliens, pour qu’ils puisent s’insérer dans la vie professionnelle. Poursuivant, le patron de l’AFD au Mali indique que 9000 jeunes sont prévues pour cette seconde phase projet. Et pour cela, il souhaite que la cadence soit accélérée pour pouvoir répondre aux nombreuses sollicitations des jeunes.
Quant au ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Construction citoyenne, Amadou Koita, il estime que la tenue de cette 3ème session du comité de pilotage, marque une étape importante dans la mise en œuvre du projet. Parce qu’il s’agit là, selon lui, de répondre à la problématique d’employabilité des jeunes, tout en renforçant les divers mécanismes déjà en cours.
Depuis 2014, a-t-il rappelé, dans la mise en œuvre de la composante 5, le projet ACEFOR a connu son démarrage, à travers la formation de deux cohortes de 900 jeunes déscolarisés, non scolarisés et finalistes. Cette formation s’est soldée par leur dotation en kits d’insertion dans les métiers du bâtiment comme la maçonnerie, la peinture bâtiment, le carrelage, la pose de pavés etc.
Pour le ministre Koita, ces formations rapides ont suscité un engouement pour les populations bénéficiaires. C’est pourquoi, le département de tutelle a sollicité auprès de l’AFD, la formation d’une troisième cohorte. L’Agence de son côté a répondu favorablement à cette requête, par un financement conséquent pour assurer la formation de 595 jeunes dans toutes les régions du Mali et dans les filières BTP et l’agropastoral.
Mahamane Maïga
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