A cette occasion, Madame Soukeyna Kane, Directrice des Operations de la Banque mondiale pour le Mali et le ministre de l’Economie et des Finances, Dr. Boubou Cissé, ont procédé à la signature de ce nouvel accord. On y notait la présence du ministre de la Santé et de l’Hygiène Publique, Pr. Samba Ousmane Sow.
D’un financement global de 347 millions de dollars américains, le REDISSE est mis en œuvre en trois phases dans les quinze pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et en Mauritanie. Il permettra d’établir un réseau effectif et pérenne de surveillance régionale.
La première phase, qui a démarré en 2016, couvre la Guinée, le Sénégal et la Sierra Léone ; la deuxième phase lancée en 2017 concerne le Togo, la Guinée-Bissau, le Nigéria, et le Libéria ; et, enfin, la phase 3, prévue pour démarrer fin 2018, couvrira le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie et le Niger.
Pour le Mali, le montant du financement est de 30 millions de dollars. L’objectif du projet est de : « renforcer les capacités nationales pour une surveillance multisectorielle des maladies et aider le Mali à mieux préparer les épidémies tout en apportant une réponse immédiate et efficace en cas d’urgence », a indiqué Madame Soukeyna Kane.
Dans cette perspective de prévention et préparation, elle a exhorté les équipes en charge du projet de redoubler d’efforts dans la planification, la coordination et l’exécution des activités. « En s’appuyant sur les nouvelles technologies, car plus que jamais, nous avons besoin d’enfants, de femmes et d’hommes en bonne santé, bien éduqués et capables de s contribuer au développement de leur cher pays, le Mali », a-t-elle recommandé.
Avant de rassurer les équipes en charge du projet que la Banque mondiale n’épargnera aucun effort pour les accompagner dans la mise en œuvre du REDISSE, auquel elle souhaite plein succès.
Quant au ministre de l’Economie et des Finances, il a précisé que ce nouvel accord d’un montant global de 30 millions de dollars US est composé de 15 millions de dollars de don et de 15 millions de dollars de prêt, soit un montant global d’environ 17 milliards FCFA. Aussi, Dr. Boubou Cissé a souligné le caractère hautement social de ce financement qui démontre encore une fois, le caractère multidimensionnel des intervenions de la Banque mondiale au Mali.
Enfin, il a réitéré les vifs remerciements du gouvernement de la République du Mali aux plus hautes autorités du Groupe de la Banque mondiale, aux équipes de Washington et de Bamako ainsi qu’aux cadres maliens pour les énormes efforts déployés pour le développement de ce projet.
Mahamane Maïga
D’un financement global de 347 millions de dollars américains, le REDISSE est mis en œuvre en trois phases dans les quinze pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et en Mauritanie. Il permettra d’établir un réseau effectif et pérenne de surveillance régionale.
La première phase, qui a démarré en 2016, couvre la Guinée, le Sénégal et la Sierra Léone ; la deuxième phase lancée en 2017 concerne le Togo, la Guinée-Bissau, le Nigéria, et le Libéria ; et, enfin, la phase 3, prévue pour démarrer fin 2018, couvrira le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie et le Niger.
Pour le Mali, le montant du financement est de 30 millions de dollars. L’objectif du projet est de : « renforcer les capacités nationales pour une surveillance multisectorielle des maladies et aider le Mali à mieux préparer les épidémies tout en apportant une réponse immédiate et efficace en cas d’urgence », a indiqué Madame Soukeyna Kane.
Dans cette perspective de prévention et préparation, elle a exhorté les équipes en charge du projet de redoubler d’efforts dans la planification, la coordination et l’exécution des activités. « En s’appuyant sur les nouvelles technologies, car plus que jamais, nous avons besoin d’enfants, de femmes et d’hommes en bonne santé, bien éduqués et capables de s contribuer au développement de leur cher pays, le Mali », a-t-elle recommandé.
Avant de rassurer les équipes en charge du projet que la Banque mondiale n’épargnera aucun effort pour les accompagner dans la mise en œuvre du REDISSE, auquel elle souhaite plein succès.
Quant au ministre de l’Economie et des Finances, il a précisé que ce nouvel accord d’un montant global de 30 millions de dollars US est composé de 15 millions de dollars de don et de 15 millions de dollars de prêt, soit un montant global d’environ 17 milliards FCFA. Aussi, Dr. Boubou Cissé a souligné le caractère hautement social de ce financement qui démontre encore une fois, le caractère multidimensionnel des intervenions de la Banque mondiale au Mali.
Enfin, il a réitéré les vifs remerciements du gouvernement de la République du Mali aux plus hautes autorités du Groupe de la Banque mondiale, aux équipes de Washington et de Bamako ainsi qu’aux cadres maliens pour les énormes efforts déployés pour le développement de ce projet.
Mahamane Maïga