L’objectif était de contribuer à une meilleure prise en compte des préoccupations des femmes des dites régions, dans les projets de société des candidats à l’élection présidentielle de 2018.
Les rencontres se sont déroulées simultanément au Centre Ahmed Baba pour la région de Tombouctou et à la Direction Régionale de la santé de Tombouctou pour Taoudéni.
Les évènements ont regroupé les femmes venues des différents cercles de chacune de ces régions, en présence des autorités administratives des deux localités, d’une délégation venue de Bamako pour la circonstance ainsi que des représentants de la MINUSMA.
En tant que forces vives du pays, les femmes ont un rôle essentiel à jouer dans la consolidation de la paix. Elles représentent plus de 51% de la population malienne et environ 49% de l’électorat mais sont à peine 10 % à l’Assemblée Nationale et 26 % dans les collectivités territoriales. Par ailleurs elles sont très souvent reléguées au simple rang d’électrices et n’accèdent qu’en petit nombre aux postes de prise de décisions. Un constat duquel découle naturellement la tenue de ces assises régionales en soutien aux femmes. L’objectif étant de leur permettre, non seulement, une meilleure prise en compte de leurs besoins mais aussi, les inciter à participer de façon active, à ce rendez-vous citoyen qu’est une élection.
Dans son intervention, Mme Ben Barka Fatouma Albadia, Directrice régionale de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille à Tombouctou, a invité toutes les femmes de la région à s’investir davantage pour le bon déroulement des scrutins de 2018. « Nous ne devrions pas rester indifférentes au processus électoral en cours et notre participation est primordiale pour la réussite de ce scrutin », a t- elle insisté auprès des participantes.
Pour sa part, Mamane Sani Moussa, chef du Bureau régional a.i. de la MINUSMA à Tombouctou dira que 2013 a été une élection de sortie de crise et souhaité que celle de Juillet 2018 soit le début d’une paix définitive au Mali. C’est pourquoi, il a invité les femmes à mieux s’organiser, afin de jouer pleinement leur rôle dans la sensibilisation auprès des jeunes et des représentants des partis politiques.
Mahamane Maïga
Les rencontres se sont déroulées simultanément au Centre Ahmed Baba pour la région de Tombouctou et à la Direction Régionale de la santé de Tombouctou pour Taoudéni.
Les évènements ont regroupé les femmes venues des différents cercles de chacune de ces régions, en présence des autorités administratives des deux localités, d’une délégation venue de Bamako pour la circonstance ainsi que des représentants de la MINUSMA.
En tant que forces vives du pays, les femmes ont un rôle essentiel à jouer dans la consolidation de la paix. Elles représentent plus de 51% de la population malienne et environ 49% de l’électorat mais sont à peine 10 % à l’Assemblée Nationale et 26 % dans les collectivités territoriales. Par ailleurs elles sont très souvent reléguées au simple rang d’électrices et n’accèdent qu’en petit nombre aux postes de prise de décisions. Un constat duquel découle naturellement la tenue de ces assises régionales en soutien aux femmes. L’objectif étant de leur permettre, non seulement, une meilleure prise en compte de leurs besoins mais aussi, les inciter à participer de façon active, à ce rendez-vous citoyen qu’est une élection.
Dans son intervention, Mme Ben Barka Fatouma Albadia, Directrice régionale de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille à Tombouctou, a invité toutes les femmes de la région à s’investir davantage pour le bon déroulement des scrutins de 2018. « Nous ne devrions pas rester indifférentes au processus électoral en cours et notre participation est primordiale pour la réussite de ce scrutin », a t- elle insisté auprès des participantes.
Pour sa part, Mamane Sani Moussa, chef du Bureau régional a.i. de la MINUSMA à Tombouctou dira que 2013 a été une élection de sortie de crise et souhaité que celle de Juillet 2018 soit le début d’une paix définitive au Mali. C’est pourquoi, il a invité les femmes à mieux s’organiser, afin de jouer pleinement leur rôle dans la sensibilisation auprès des jeunes et des représentants des partis politiques.
Mahamane Maïga