Cette année, deux thèmes sont retenus pour la célébration : «La pollution de l’air», pour la Journée mondiale de l’environnement, qui a été lancée le 5 juin dernier et «25 ans-cultivons l’avenir ensemble» pour la Journée internationale de lutte contre la désertification, à célébrer le 17 juin prochain.
Lors de son intervention, le Premier ministre fait étalage de la volonté du président IBK. « C’est pour vous dire combien les questions liées à la protection de l’environnement sont importantes pour le président et pour le gouvernement du Mali. C’est tellement important qu’elle a été inscrite dans notre prochain plan quinquennal », déclare-t-il.
«Le président l’a toujours dit, il ne peut pas y avoir de développement économique de notre pays et de croissance économique sans le respect de l’environnement. Ce sont ces messages importants qui ont été passés aujourd’hui», ajoute le premier ministre.
Selon Dr. Boubou Cissé, le Mali est présent sur le plan international en matière de lutte contre le réchauffement climatique. «Quand on parle du Fonds climat, nous faisons partie des pays qui ont fait un plaidoyer important sur cette question. Aujourd’hui, nous sommes en train de bénéficier d’une partie de ce fonds pour mettre en œuvre les politiques et surtout prendre en charge les mesures concrètes de lutte contre la pollution de l’atmosphère dans notre pays», dit-il.
Quant au chef de file des partenaires techniques et financiers de l’environnement et du changement climatique, Mme Carin Wall, elle a soufflé le chaud et le froid. Sans polluer l’ambiance verte, la représentante des PTF verts a reconnu que le Mali a fait des efforts appréciables.
Toutefois, elle attire l’attention sur la nécessité d’adopter une approche intégrée participative qui puisse mettre en cohérence les préoccupations nationales sectorielles et locales afin de ne laisser personne de côté, conformément à l’esprit de l’agenda 2030.
Malgré les avancées, Carin Wall souhaite qu’une attention particulière soit concentrée sur certaines préoccupations majeures du moment. On a noté l’application des textes relatifs à la pollution par les sachets plastiques et de l’air, l’accélération de la mise œuvre des plans de partenariats de la contribution déterminée au niveau national et le renforcement de la communication.
Mahamane Maïga
Lors de son intervention, le Premier ministre fait étalage de la volonté du président IBK. « C’est pour vous dire combien les questions liées à la protection de l’environnement sont importantes pour le président et pour le gouvernement du Mali. C’est tellement important qu’elle a été inscrite dans notre prochain plan quinquennal », déclare-t-il.
«Le président l’a toujours dit, il ne peut pas y avoir de développement économique de notre pays et de croissance économique sans le respect de l’environnement. Ce sont ces messages importants qui ont été passés aujourd’hui», ajoute le premier ministre.
Selon Dr. Boubou Cissé, le Mali est présent sur le plan international en matière de lutte contre le réchauffement climatique. «Quand on parle du Fonds climat, nous faisons partie des pays qui ont fait un plaidoyer important sur cette question. Aujourd’hui, nous sommes en train de bénéficier d’une partie de ce fonds pour mettre en œuvre les politiques et surtout prendre en charge les mesures concrètes de lutte contre la pollution de l’atmosphère dans notre pays», dit-il.
Quant au chef de file des partenaires techniques et financiers de l’environnement et du changement climatique, Mme Carin Wall, elle a soufflé le chaud et le froid. Sans polluer l’ambiance verte, la représentante des PTF verts a reconnu que le Mali a fait des efforts appréciables.
Toutefois, elle attire l’attention sur la nécessité d’adopter une approche intégrée participative qui puisse mettre en cohérence les préoccupations nationales sectorielles et locales afin de ne laisser personne de côté, conformément à l’esprit de l’agenda 2030.
Malgré les avancées, Carin Wall souhaite qu’une attention particulière soit concentrée sur certaines préoccupations majeures du moment. On a noté l’application des textes relatifs à la pollution par les sachets plastiques et de l’air, l’accélération de la mise œuvre des plans de partenariats de la contribution déterminée au niveau national et le renforcement de la communication.
Mahamane Maïga