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« La jeunesse africaine devrait savoir que son avenir se trouve en Afrique », lance le ministre ivoirien du Commerce et de l’industrie

Lundi 12 Novembre 2018

Clôturant la 3ème édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA), samedi 10 novembre, Souleymane Diarrassouba (ministre du Commerce, de l’industrie et de la promotion des PME) a lancé un appel aux jeunes du continent.


 « La jeunesse africaine devrait savoir que son avenir se trouve en Afrique qui est la nouvelle et dernière frontière du développement », a-t-il dit. Pour lui, le secteur du cajou apporte une solution à l’argument du chômage qui pousserait les jeunes sur le chemin de l’immigration clandestine.
Placé sous le signe de l’autonomisation de la jeunesse africaine, le Salon qui s’est déroulé du 8 au 10 novembre a été une tribune pour faire un plaidoyer en faveur de l’accroissement des investissements dans la transformation de l’anacarde. En vue d’offrir plus d’opportunités de création d’emplois pour les jeunes et les femmes. Rapportant des chiffres publiés par l’Union africaine, Daniel Kablan Duncan (vice-président ivoirien) a affirmé que 11 millions de jeunes du continent font leur entrée chaque année sur le marché du travail. Mais seulement 3 millions d’emplois sont créés. Plus de 70% des jeunes africains vivraient donc avec moins de 2 dollars par jour. Que faire ?
La promotion de l’agro-industrie demeure une des voies pour absorber les jeunes. L’Afrique est abondamment pourvue de ressources agricoles. « Le cajou constitue l’un des produits dont il nous faut développer la transformation, eu égard à son potentiel de création de valeur ajoutée, d’emplois et de richesses », a préconisé Kablan Duncan. Des experts soutiennent que la transformation de 1.000 tonnes de noix brutes de cajou peut générer 200 emplois. Essentiellement pour les jeunes et les femmes.
Le cajou, la pépite inattendue : une mine d’opportunités pas pleinement exploitée. Le ministre Diarrassouba a exhorté à une mobilisation. « Face au défi de la lutte contre la pauvreté et contre le phénomène de l’immigration clandestine que l’Afrique subsaharienne connaît ces dernières années, il nous faut œuvrer, de concert avec tous les partenaires au développement, à la promotion d’une industrie de transformation de l’anacarde qui soit porteuse d’opportunités de création d’emplois, et donc d’espoir pour nos jeunes ».   
OSSÈNE OUATTARA
 














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