chroniques
M. Oliver Chinganya, Directeur du Centre africain pour la statistique, a signé au nom de la CEA, tandis que M. Simon Masanga, Secrétaire permanent, au Ministère de la fonction publique, du travail et des affaires sociales, a signé au nom du Zimbabwe.
« La signature de l’accord donne un nouvel élan aux préparatifs de ce forum très important qui verra le Zimbabwe battre le pavillon du continent africain en termes d’Objectifs de développement durable », déclare M. Chinganya, qui est également Directeur par intérim de la Division de la technologie, du changement climatique et de la gestion des ressources naturels, à la CEA.
« Nous ferons de notre mieux pour soutenir le Zimbabwe, en particulier maintenant que le pays et la région de l’Afrique australe en général sont les plus touchés par le changement climatique. Les discussions porteront sur les mesures à prendre pour accélérer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 de l'Afrique. Nous ne pouvons pas nous permettre d’échouer en tant que continent ».
Pour sa part, M. Masanga indique que le Zimbabwe est prêt à accueillir la plateforme intergouvernementale et multipartite organisée par la CEA en collaboration avec la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et le système des Nations Unies pour examiner les progrès, partager les expériences et enseignements tirés et dégager un consensus sur les recommandations visant à accélérer la mise en œuvre des deux Agendas qui se renforcent mutuellement.
« Nous sommes reconnaissants du soutien que nous recevons des Nations Unies dans ce domaine et dans d’autres, alors que nous cherchons tous à garantir que les ODD soient pleinement mis en œuvre et à sortir des millions de personnes à travers le continent de la faim », dit M. Masanga.
M. Chinganya affirme que la décennie 2020-2030 présente une opportunité et une fenêtre d’espoir pour l’Afrique d’accélérer considérablement le rythme et d’élargir l’étendue de la mise en œuvre pour atteindre les objectifs régionaux et mondiaux.
Le directeur dirige une équipe de la CEA pour évaluer l’état de préparation des différentes parties prenantes sur le terrain à mesure que le Forum se rapproche.
Plus tôt, M. Chinganya et son équipe ont rencontré l’équipe de pays des Nations Unies sous la direction de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies, Mme Maria Valle Ribeiro, qui a exhorté toutes les institutions des Nations Unies dans le pays à travailler main dans la main pour mener à bien l’organisation du FRADD.
« Nous devons tous travailler ensemble pour le succès de ce forum, d’autant plus que c’est le début de la décennie d’action pour atteindre les ODD d’ici 2030 », déclare Mme Ribeiro.
L’équipe de la CEA a également rencontré des hauts fonctionnaires du Ministère zimbabwéen de l’enseignement supérieur et du troisième cycle, du développement des sciences et de la technologie, qui travaille avec l’UNESCO en vue de la préparation du Forum régional africain sur la science, la technologie et l’innovation, qui précédera le FRADD.
« Pour nous, cette réunion est très importante car non seulement elle nous permettra de mettre en valeur notre pays, mais elle nous donne également une excellente occasion de garantir que la science et la technologie obtiennent la visibilité qui leur est due sur le continent. L’innovation est importante pour le développement de l’Afrique », précise M. Fanuel Tagwira, Secrétaire permanent, au Ministère de l’enseignement supérieur et du troisième cycle, du développement des sciences et de la technologie.
Le FRADD est une plateforme annuelle multipartite qui rassemble des ministres, de hauts fonctionnaires, des experts et des praticiens des États membres de l’ONU, du secteur privé, de la société civile, du monde universitaire et des organisations des Nations Unies pour faire avancer une mise en œuvre intégrée du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des objectifs énoncés dans l’Agenda 2063 de l’Afrique.
L’objectif général de la sixième édition du FRADD est de mener un suivi régional et un examen des progrès réalisés, de faciliter l’apprentissage par les pairs et de faire avancer des solutions et des actions transformatrices pour accélérer la mise en œuvre des deux Agendas.
Publié par :
La Section des communications
Commission économique pour l’Afrique
« La signature de l’accord donne un nouvel élan aux préparatifs de ce forum très important qui verra le Zimbabwe battre le pavillon du continent africain en termes d’Objectifs de développement durable », déclare M. Chinganya, qui est également Directeur par intérim de la Division de la technologie, du changement climatique et de la gestion des ressources naturels, à la CEA.
« Nous ferons de notre mieux pour soutenir le Zimbabwe, en particulier maintenant que le pays et la région de l’Afrique australe en général sont les plus touchés par le changement climatique. Les discussions porteront sur les mesures à prendre pour accélérer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et de l’Agenda 2063 de l'Afrique. Nous ne pouvons pas nous permettre d’échouer en tant que continent ».
Pour sa part, M. Masanga indique que le Zimbabwe est prêt à accueillir la plateforme intergouvernementale et multipartite organisée par la CEA en collaboration avec la Commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et le système des Nations Unies pour examiner les progrès, partager les expériences et enseignements tirés et dégager un consensus sur les recommandations visant à accélérer la mise en œuvre des deux Agendas qui se renforcent mutuellement.
« Nous sommes reconnaissants du soutien que nous recevons des Nations Unies dans ce domaine et dans d’autres, alors que nous cherchons tous à garantir que les ODD soient pleinement mis en œuvre et à sortir des millions de personnes à travers le continent de la faim », dit M. Masanga.
M. Chinganya affirme que la décennie 2020-2030 présente une opportunité et une fenêtre d’espoir pour l’Afrique d’accélérer considérablement le rythme et d’élargir l’étendue de la mise en œuvre pour atteindre les objectifs régionaux et mondiaux.
Le directeur dirige une équipe de la CEA pour évaluer l’état de préparation des différentes parties prenantes sur le terrain à mesure que le Forum se rapproche.
Plus tôt, M. Chinganya et son équipe ont rencontré l’équipe de pays des Nations Unies sous la direction de la Coordonnatrice résidente des Nations Unies, Mme Maria Valle Ribeiro, qui a exhorté toutes les institutions des Nations Unies dans le pays à travailler main dans la main pour mener à bien l’organisation du FRADD.
« Nous devons tous travailler ensemble pour le succès de ce forum, d’autant plus que c’est le début de la décennie d’action pour atteindre les ODD d’ici 2030 », déclare Mme Ribeiro.
L’équipe de la CEA a également rencontré des hauts fonctionnaires du Ministère zimbabwéen de l’enseignement supérieur et du troisième cycle, du développement des sciences et de la technologie, qui travaille avec l’UNESCO en vue de la préparation du Forum régional africain sur la science, la technologie et l’innovation, qui précédera le FRADD.
« Pour nous, cette réunion est très importante car non seulement elle nous permettra de mettre en valeur notre pays, mais elle nous donne également une excellente occasion de garantir que la science et la technologie obtiennent la visibilité qui leur est due sur le continent. L’innovation est importante pour le développement de l’Afrique », précise M. Fanuel Tagwira, Secrétaire permanent, au Ministère de l’enseignement supérieur et du troisième cycle, du développement des sciences et de la technologie.
Le FRADD est une plateforme annuelle multipartite qui rassemble des ministres, de hauts fonctionnaires, des experts et des praticiens des États membres de l’ONU, du secteur privé, de la société civile, du monde universitaire et des organisations des Nations Unies pour faire avancer une mise en œuvre intégrée du Programme de développement durable à l’horizon 2030 et des objectifs énoncés dans l’Agenda 2063 de l’Afrique.
L’objectif général de la sixième édition du FRADD est de mener un suivi régional et un examen des progrès réalisés, de faciliter l’apprentissage par les pairs et de faire avancer des solutions et des actions transformatrices pour accélérer la mise en œuvre des deux Agendas.
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