Le Directeur Général de l’Institut a rappelé que cette 45ème session se tient dans un contexte de grand espoir d’une amélioration significative de la quantité et de la qualité de leurs prestations, avec notamment : le renforcement des capacités de leurs laboratoires dans le cadre du Programme de Sécurité Sanitaire Mondiale ; le démarrage des activités dans le nouveau bloc de laboratoire ; le démarrage des activités d’analyses toxicologiques ; le renforcement de partenariat avec la Pharmacie Populaire du Mali, pour la production et la mise à disposition de certains médicaments traditionnels améliorés ; le financement des études d’impact dans les zones minières ; le financement de leurs deux projets par le fonds compétitif pour la Recherche de l’Innovation Technologique. La seule voie vers l’excellence pour l’institut est la constitution d’équipes de recherche fortes et compétitives sur le plan international, pour obtenir des financements extérieurs importants, et donner plus d’autonomie et de motivation aux chercheurs. Par ailleurs, il a signalé, l’inadaptation des laboratoires aux normes de sécurité en vigueur, l’état de délabrement avancé des centres ruraux à Bandiagara, Sélingué et Kolokani et l’insuffisance de financement des projets de recherche constituent toujours de sérieux handicaps pour l’institut, a fait savoir le DG Traoré. Le démarrage des activités du nouveau bloc de laboratoire, le réaménagement et l’équipement du laboratoire national de référence de la tuberculose, pour en faire un laboratoire de diagnostic de niveau de sécurité biologique P3, capable de faire le diagnostic du virus Ebola et bien d’autres pathogènes, devraient contribuer à réduire ce handicap. A ses dires « le défi pour nous aujourd’hui, demeure la constitution d’équipes de recherche fortes et complétives sur le plan international pour gagner des financements extérieurs importants, et donner plus d’autonomie et de motivation aux chercheurs, la seule voies vers l’excellence ». a-t-il déclaré.
Avant de signaler que malgré ces difficultés, l’INRSP a pu accomplir plusieurs de ses missions à hauteur de souhait, avec un taux d’exécution global du budget de 94%.
Sur le plan budgétaire, l’INRSP a enregistré au 30 novembre 2017, un taux de réalisation des recettes de 89% et un taux d’exécution de 94%. Au plan de la recherche, 18 agents ont été hiérarchisés dont un dans le corps des maitres de recherche et 17 dans le corps des attachés. Ainsi, le département en charge de la santé qui accorde une très grande attention à ces difficultés, a engagé des procédures pour leur apporter des solutions idoines.
Flani SORA
Avant de signaler que malgré ces difficultés, l’INRSP a pu accomplir plusieurs de ses missions à hauteur de souhait, avec un taux d’exécution global du budget de 94%.
Sur le plan budgétaire, l’INRSP a enregistré au 30 novembre 2017, un taux de réalisation des recettes de 89% et un taux d’exécution de 94%. Au plan de la recherche, 18 agents ont été hiérarchisés dont un dans le corps des maitres de recherche et 17 dans le corps des attachés. Ainsi, le département en charge de la santé qui accorde une très grande attention à ces difficultés, a engagé des procédures pour leur apporter des solutions idoines.
Flani SORA