Le 13 janvier dernier, des organisations agricoles de grandes envergures en Afrique et en Asie ont uni leurs forces afin de lancer une initiative audacieuse visant à créer une nouvelle industrie de taille, dans le but de ramener certains aliments dit « Smart Food » au rang des denrées de base. Selon un communiqué reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos), le ciblage de ces produits de base apporte les prémices pour générer des impacts majeurs sur la santé et le système agroalimentaire.
Le document renseigne que le point culminant en a été la formation du Conseil exécutif de Smart Food, dirigé par l’Association Asie-Pacifique des institutions de recherche agricole (Apaari), le Forum pour la recherche agricole en Afrique (Fara), le Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (Coraf), le Réseau d’analyse des politiques relatives à l’alimentation, à l’agriculture et aux ressources naturelles (Fanrpan) en collaboration avec l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (Icrisat) qui ont lancé en 2013, l’Initiative « Smart Food ». Ce partenariat, renseigne-t-on, s’inscrit dans un nouvel effort visant à apporter une contribution majeure aux objectifs de développement durable (Odd). L’approche consiste à mettre l’accent sur la diversification des produits de base. Étant donné que les aliments de base constituent généralement
70% du repas et sont souvent consommés trois fois par jour, leur diversification peut avoir un impact considérable sur la lutte contre la malnutrition et la pauvreté, ainsi que sur la gestion du changement climatique et de la dégradation de l’environnement.
«Je vois comment on peut faire de Smart Food un nom familier. Nous devons établir des liens et des synergies avec d’autres programmes existants tout au long de la chaîne de valeur. Le renforcement des capacités sera une opportunité, en particulier en adoptant une approche holistique de l’alimentation intelligente où les questions de nutrition/santé, d’environnement et de bien-être des agriculteurs peuvent être abordées.», a déclaré Dr Ravi Khetarpal, secrétaire exécutif de l’Apaari.
«Nous voyons l’histoire se dérouler devant nous, car c’est ainsi que de grandes choses émergent. Smart Food répond au désir de voir le pouvoir de la science se traduire dans la réalité. Je suis heureux que Smart Food soit maintenant institutionnalisé.», ajoute à son tour Dr Yemi Akinbamijo, directeur exécutif du Fara. «Cette approche est une réponse appropriée aux grands enjeux mondiaux actuels. Nous voulons rajouter un plus aux grandes cultures, pas les changer. Passer des trois grandes cultures de base (riz, blé et maïs) à cinq, puis sept , est un objectif important.» , souligne Dr Abdulai Jalloh, directeur de la recherche et de l’innovation du Coraf.
Adou FAYE
Le document renseigne que le point culminant en a été la formation du Conseil exécutif de Smart Food, dirigé par l’Association Asie-Pacifique des institutions de recherche agricole (Apaari), le Forum pour la recherche agricole en Afrique (Fara), le Conseil ouest et centre africain pour la recherche et le développement agricoles (Coraf), le Réseau d’analyse des politiques relatives à l’alimentation, à l’agriculture et aux ressources naturelles (Fanrpan) en collaboration avec l’Institut international de recherche sur les cultures des zones tropicales semi-arides (Icrisat) qui ont lancé en 2013, l’Initiative « Smart Food ». Ce partenariat, renseigne-t-on, s’inscrit dans un nouvel effort visant à apporter une contribution majeure aux objectifs de développement durable (Odd). L’approche consiste à mettre l’accent sur la diversification des produits de base. Étant donné que les aliments de base constituent généralement
70% du repas et sont souvent consommés trois fois par jour, leur diversification peut avoir un impact considérable sur la lutte contre la malnutrition et la pauvreté, ainsi que sur la gestion du changement climatique et de la dégradation de l’environnement.
«Je vois comment on peut faire de Smart Food un nom familier. Nous devons établir des liens et des synergies avec d’autres programmes existants tout au long de la chaîne de valeur. Le renforcement des capacités sera une opportunité, en particulier en adoptant une approche holistique de l’alimentation intelligente où les questions de nutrition/santé, d’environnement et de bien-être des agriculteurs peuvent être abordées.», a déclaré Dr Ravi Khetarpal, secrétaire exécutif de l’Apaari.
«Nous voyons l’histoire se dérouler devant nous, car c’est ainsi que de grandes choses émergent. Smart Food répond au désir de voir le pouvoir de la science se traduire dans la réalité. Je suis heureux que Smart Food soit maintenant institutionnalisé.», ajoute à son tour Dr Yemi Akinbamijo, directeur exécutif du Fara. «Cette approche est une réponse appropriée aux grands enjeux mondiaux actuels. Nous voulons rajouter un plus aux grandes cultures, pas les changer. Passer des trois grandes cultures de base (riz, blé et maïs) à cinq, puis sept , est un objectif important.» , souligne Dr Abdulai Jalloh, directeur de la recherche et de l’innovation du Coraf.
Adou FAYE