Présidant cette cérémonie, le vice-président Yacouba Katilé, en a profité pour rappeler les missions du CESC. Le Conseil économique, social et culturel qui se veut être le porteur des besoins et aspirations des populations a salué l’usage que l’Etat fait des recueils produits annuellement. «Dès les premiers instants du mandat du CESC, nous nous demandions quelle utilisation faisait-on de ces recueils », a expliqué Yacouba Katilé,
Aussi, il a salué « les réponses éloquentes illustrant l’exploitation » de ces conclusions par le gouvernement. Il s’agit, entre autres, du Programme spécial d’urgences sociales initié par le président de la République Ibrahim Boubacar Kéïta. Selon lui, la mise en œuvre de ce programme touche aux différentes attentes des populations rapportées dans les recueils.
Parmi lesquelles attentes, il faut citer l’accès à l’eau potable, à l’énergie, à la souveraineté alimentaire, le renforcement du réseau sanitaire du pays, le désenclavement extérieur et intérieur. Pour le vice-président du CESC, la prise en compte et la satisfaction des attentes des différentes couches de la société sont essentielles pour la croissance économique. Il entend même améliorer, bientôt, «les méthodes et procédés d’approches avec les populations».
Après une série de missions à l’intérieur du Mali et au-delà des frontières, notamment en France, Espagne, Italie ainsi que dans des pays africains, le CESC a pris note des préoccupations des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur. Elles sont nombreuses et concernent tous les domaines.
A l’intérieur, les préoccupations évoquées par le vice-président du CESC sont, entre autres, relatives à la santé, l’insécurité, l’éducation et le développement local de façon générale. Yacouba Katilé qui a exhorté à trouver une solution «définitive à ces préoccupations», a rappelé les préoccupations des Maliens de l’extérieur. Il s’agit notamment des documents officiels comme la carte Nina et la gestion des cas de décès (rapatriement des corps).
Mahamane Maïga
Aussi, il a salué « les réponses éloquentes illustrant l’exploitation » de ces conclusions par le gouvernement. Il s’agit, entre autres, du Programme spécial d’urgences sociales initié par le président de la République Ibrahim Boubacar Kéïta. Selon lui, la mise en œuvre de ce programme touche aux différentes attentes des populations rapportées dans les recueils.
Parmi lesquelles attentes, il faut citer l’accès à l’eau potable, à l’énergie, à la souveraineté alimentaire, le renforcement du réseau sanitaire du pays, le désenclavement extérieur et intérieur. Pour le vice-président du CESC, la prise en compte et la satisfaction des attentes des différentes couches de la société sont essentielles pour la croissance économique. Il entend même améliorer, bientôt, «les méthodes et procédés d’approches avec les populations».
Après une série de missions à l’intérieur du Mali et au-delà des frontières, notamment en France, Espagne, Italie ainsi que dans des pays africains, le CESC a pris note des préoccupations des Maliens de l’intérieur comme de l’extérieur. Elles sont nombreuses et concernent tous les domaines.
A l’intérieur, les préoccupations évoquées par le vice-président du CESC sont, entre autres, relatives à la santé, l’insécurité, l’éducation et le développement local de façon générale. Yacouba Katilé qui a exhorté à trouver une solution «définitive à ces préoccupations», a rappelé les préoccupations des Maliens de l’extérieur. Il s’agit notamment des documents officiels comme la carte Nina et la gestion des cas de décès (rapatriement des corps).
Mahamane Maïga