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Rebondissement dans l’Affaire SYNABEF-NSIA-Mali : Le Syndicat face à la presse décrie l’attitude de NSIA et interpelle l’Etat

Lundi 13 Novembre 2017

Le Syndicat National des Banques et Etablissements Financiers (SYNABEF), a tenu le samedi 11 novembre 2017, à la bourse du travail de Bamako, une conférence de Presse pour décrier l’attitude de NSIA-Mali, qui refuse d’appliquer une décision du tribunal arbitral en faveur d’un de leur camarade délégué syndical. A cet effet, il interpelle l’Etat. Ladite conférence était co-animée par Aguibou Boiré, secrétaire général de SYNABEF et Hamadoun Bah.


Pour le conférencier principal Aguibou Boiré ,  il ya de cela quelques 6 mois, que le nommé Siaka Traoré, le secrétaire général de la société d’assurance NSIA-Mali a été licencié par la direction pour faute grave. Selon lui, Siaka appuyé par le Syndicat National des Banques et Etablissements Financiers (SYNABEF), il a été licencié de façon abusive. Thèse qui a été appuyée par l’inspection, la direction régionale de travail. Malgré l’avis défavorable de l’inspection, le travailleur a été licencié. Ceci a poussé, le SYNABEF a demandé l’avis du tribunal du travail de Bamako sur le licenciement opéré. Le tribunal s’est déclaré incompétent. C’est alors que le SYNABEF a finalement porté le litige  devant le tribunal arbitral, a-t-il indiqué. Le tribunal arbitral a rendu un verdict favorable au sieur Issiaka Traoré, ce qui signifie sa réintégration dans l’entreprise NSIA-Mali. Pour l’orateur, c’est cette décision revêtue de la formule exécutoire, que la direction de NSIA refuse d’appliquer. Selon M. Boiré, leur camarade est sous le coup de violences morales et physiques les plus abjectes, privé d’exercer son travail, et privé de son salaire. Depuis 6 mois ne disposant d’aucuns moyens de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille alors même que la violation de la loi est constatée par toutes les autorités compétentes. « Dans leurs frondes, les instructions du gouvernement, à travers le ministère en charge du travail, ont été superbement ignorées par les dirigeants de la NSIA qui ont plus de respect pour leur président du conseil d’administration que la Constitution et l’Etat du Mali. Le comble, est que l’entreprise pousse l’outrecuidance jusqu’à refuser d’exécuter la sentence du conseil d’arbitrage bien que revêtue de la formule exécutoire depuis le 7 novembre 2017. Pour les conférenciers, en syndicat responsable, ils se sont gardés de tomber dans le piège de la provocation et de l’incitation à la violence. Ils ont cependant fait constater la défaillance de l’Etat malien à exécuter ses obligations constitutionnelles de protection des droits des travailleurs et d’application des décisions revêtues de la formule exécutoire, qui pourrait conduire à des situations échappant à tout contrôle. Ils demandent à l’Etat du Mali et aux autorités judiciaires de prendre toute leurs responsabilités pour rétablir leur camarade dans ses droits. Ils disent compter sur le sens de la responsabilité et la bonne compréhension des plus hautes autorités.
Flani SORA
 


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