Se montrant plus préoccupé, Mamadou Sinsy Coulibaly pense que les pouvoirs publics doivent donner à cette agence toute son autonomie. En ce sens qu’elle puisse jouer pleinement son rôle. Il s’agira de rebâtir une API forte, qui s’engage dans tous les segments d’activité qui sont ceux d’une agence de promotion des investissements.
Selon lui, ceci est important, quand on sait que l’API souffre de plusieurs maux à savoir : le manque de ressources appropriées, de personnel ayant la capacité requise et l’absence de programme d’activités.
Pour résoudre tous ces maux, le ministère de la Promotion des Investissements et du Secteur privé a mené des réflexions. Ainsi, des études ont été menées avec l’appui de la Banque Mondiale. Toutes choses qui ont abouti à l’élaboration d’un premier plan qui va permettre la mise en œuvre d’une API plus performante.
A noter que la vision de l’API Mali, est de contribuer au développement économique du Mali à travers la promotion et la facilitation des investissements du secteur privé. Déjà aussi, la direction de cette structure a élaboré un business plan avec un budget estimé à 6 milliards de FCFA pour la période 2016-2018, soit deux milliards par an en moyenne.
Au-delà de tout cela, le patron des patrons lance un appel pressant aux autorités en charge de la promotion des investissements et du secteur privé pour donner plus de marge de manœuvre à l’API-Mali afin qu’elle soit à hauteur d’attente.
Mahamane MAIGA
Selon lui, ceci est important, quand on sait que l’API souffre de plusieurs maux à savoir : le manque de ressources appropriées, de personnel ayant la capacité requise et l’absence de programme d’activités.
Pour résoudre tous ces maux, le ministère de la Promotion des Investissements et du Secteur privé a mené des réflexions. Ainsi, des études ont été menées avec l’appui de la Banque Mondiale. Toutes choses qui ont abouti à l’élaboration d’un premier plan qui va permettre la mise en œuvre d’une API plus performante.
A noter que la vision de l’API Mali, est de contribuer au développement économique du Mali à travers la promotion et la facilitation des investissements du secteur privé. Déjà aussi, la direction de cette structure a élaboré un business plan avec un budget estimé à 6 milliards de FCFA pour la période 2016-2018, soit deux milliards par an en moyenne.
Au-delà de tout cela, le patron des patrons lance un appel pressant aux autorités en charge de la promotion des investissements et du secteur privé pour donner plus de marge de manœuvre à l’API-Mali afin qu’elle soit à hauteur d’attente.
Mahamane MAIGA