Il ressort que le nombre d’assurés qui cotisent au régime général est de 279.165 travailleurs. La situation des encaissements de cotisations par nature au 31 décembre 2016 se chiffre à 129,05 milliards FCFA en 2016 contre 122,792 milliards en 2015.
Quant aux recettes de cotisations de l’exercice 2016, elles sont en augmentation de 5% par rapport à celles de l’exercice 2015. Mieux, les actions de relance des gros débiteurs comprenant l’État et certaines entreprises Publiques ou para Publiques ont permis d’optimiser le recouvrement des arriérés. Ainsi, les montants des recouvrements forcés se sont élevés à 3,20 milliards de nos francs.
En 2016, dans le cadre de la diversification des ressources, l’INPS a encaissé 3,09 milliards FCFA au titre des produits financiers générés par les placements et les dépôts à terme. Vient ensuite, 2,02 milliards FCFA au titre des recettes de production, des prestations des structures socio-sanitaires, des frais de gestion AMO, des ristournes sur la taxe ANPE et des frais de gestion des Caisses de Sécurité Sociales étrangères.
Au cours de l’exercice 2016, l’INPS a traité 47.148 demandes de prestations. Les plus fortes augmentations concernent les nouvelles demandes d’affiliation d’employeurs et les nouvelles adhésions à l’AMO et à l’assurance volontaire. Ainsi, les prestations sociales servies au titre des branches de protection sociale gérées par l’INPS se sont élevées à 65,25 milliards FCFA pour 452 913 bénéficiaires directs et indirects. Dans cette dynamique, 75% des bénéficiaires sont constitués des ayants droits.
Quant aux dépenses de pension, elles représentent 81% en 2016 contre 83% en 2015. Au même moment, les prestations familiales sont de 20,54% en 2016 contre 15% en 2015 et les ATMP 1,43% en 2016 contre 2% en 2015. Il apparaît que les parts des prestations familiales augmentent à cause de l’augmentation du taux des allocations familiales accordé en 2015. Ce taux est passé de 1 500 FCFA à 3 500 FCFA par mois et par enfant.
Mahamane Maïga
Quant aux recettes de cotisations de l’exercice 2016, elles sont en augmentation de 5% par rapport à celles de l’exercice 2015. Mieux, les actions de relance des gros débiteurs comprenant l’État et certaines entreprises Publiques ou para Publiques ont permis d’optimiser le recouvrement des arriérés. Ainsi, les montants des recouvrements forcés se sont élevés à 3,20 milliards de nos francs.
En 2016, dans le cadre de la diversification des ressources, l’INPS a encaissé 3,09 milliards FCFA au titre des produits financiers générés par les placements et les dépôts à terme. Vient ensuite, 2,02 milliards FCFA au titre des recettes de production, des prestations des structures socio-sanitaires, des frais de gestion AMO, des ristournes sur la taxe ANPE et des frais de gestion des Caisses de Sécurité Sociales étrangères.
Au cours de l’exercice 2016, l’INPS a traité 47.148 demandes de prestations. Les plus fortes augmentations concernent les nouvelles demandes d’affiliation d’employeurs et les nouvelles adhésions à l’AMO et à l’assurance volontaire. Ainsi, les prestations sociales servies au titre des branches de protection sociale gérées par l’INPS se sont élevées à 65,25 milliards FCFA pour 452 913 bénéficiaires directs et indirects. Dans cette dynamique, 75% des bénéficiaires sont constitués des ayants droits.
Quant aux dépenses de pension, elles représentent 81% en 2016 contre 83% en 2015. Au même moment, les prestations familiales sont de 20,54% en 2016 contre 15% en 2015 et les ATMP 1,43% en 2016 contre 2% en 2015. Il apparaît que les parts des prestations familiales augmentent à cause de l’augmentation du taux des allocations familiales accordé en 2015. Ce taux est passé de 1 500 FCFA à 3 500 FCFA par mois et par enfant.
Mahamane Maïga