Evoquant la lutte contre le terrorisme, le président Kéita a mis l’accent de la Force conjointe du G5 Sahel dont l’opérationnalisation nécessite un financement de 300 millions d’euros. Alors que ce sont seulement 120 millions d’euros qui ont été mobilisés avec une contribution de l’Union européenne et des Etats-Unis d’Amérique.
A cette préoccupation, le président sénégalais estime que les défis sécuritaires sont aujourd’hui nombreux et complexes. Selon lui, le premier défi à relever est de riposter militairement sur le terrain contre le terrorisme. Le deuxième défi à relever est de renforcer les échanges de renseignement entre les Etats. Le dernier défi à relever est de réaliser le développement inclusif dans nos pays en mettant l’accent sur l’éducation, la formation, l’emploi.
Selon le président du Sénégal, la pauvreté et l’ignorance sont sources de frustrations et d’injustice sociale qui peuvent emmener le chaos dans nos Etats. A ce propos, Macky Sall a cité les grands projets de développement que l’Etat sénégalais est en train de mettre en œuvre pour soulager la souffrance des populations.
Le ministre français des Armées, Florence Parly, a assuré que son pays n’a aucune intention d’abandonner ses partenaires africains. « Nous allons continuer à œuvrer pour la paix et la sécurité en Afrique », a-t-elle déclaré, ajoutant que la lutte contre le terrorisme passe par le développement et la bonne gouvernance.
Un point de vue partagé par le Premier ministre tchadien qui a précisé que la paix et la sécurité sont des conditions sine qua non pour que nos Etats puissent se développer. Albert Pahimi Padacké a rappelé les efforts que son pays est en train de faire pour lutter contre le terrorisme à l’intérieur et dans d’autres pays africains en proie aux assauts des obscurantistes.
Il a appelé à la création de partenariats stratégiques pour venir à bout de ce fléau.
Mahamane Maïga
A cette préoccupation, le président sénégalais estime que les défis sécuritaires sont aujourd’hui nombreux et complexes. Selon lui, le premier défi à relever est de riposter militairement sur le terrain contre le terrorisme. Le deuxième défi à relever est de renforcer les échanges de renseignement entre les Etats. Le dernier défi à relever est de réaliser le développement inclusif dans nos pays en mettant l’accent sur l’éducation, la formation, l’emploi.
Selon le président du Sénégal, la pauvreté et l’ignorance sont sources de frustrations et d’injustice sociale qui peuvent emmener le chaos dans nos Etats. A ce propos, Macky Sall a cité les grands projets de développement que l’Etat sénégalais est en train de mettre en œuvre pour soulager la souffrance des populations.
Le ministre français des Armées, Florence Parly, a assuré que son pays n’a aucune intention d’abandonner ses partenaires africains. « Nous allons continuer à œuvrer pour la paix et la sécurité en Afrique », a-t-elle déclaré, ajoutant que la lutte contre le terrorisme passe par le développement et la bonne gouvernance.
Un point de vue partagé par le Premier ministre tchadien qui a précisé que la paix et la sécurité sont des conditions sine qua non pour que nos Etats puissent se développer. Albert Pahimi Padacké a rappelé les efforts que son pays est en train de faire pour lutter contre le terrorisme à l’intérieur et dans d’autres pays africains en proie aux assauts des obscurantistes.
Il a appelé à la création de partenariats stratégiques pour venir à bout de ce fléau.
Mahamane Maïga