Durant deux jours, plus de 300 participants composés des représentants de toutes les communautés ont été informé du niveau de réalisation du projet d’aménagement de Taoussa, et de la mise en œuvre du plan d’actions issu de l’atelier de Gao, tenu en septembre 2016. Il s’agissait aussi de faire en sorte que l’ensemble des acteurs s’approprient du processus de la prévention, de la gestion des conflits et de la consolidation de la paix dans la partie septentrionale de notre pays.
Les participants ont également recommandé que soit résilié le contrat avec les entreprises chinoises et que des dispositions soient prises pour conclure un nouveau marché avec un prestataire. Ils ont aussi demandé, entre autres, la valorisation du pacte social entre les communautés et le maintien du renforcement des capacités de nos forces armées et de sécurité.
L’aménagement hydroélectrique de Taoussa est un ouvrage à but multiples qui concerne, entre autres, la production d’électricité avec le branchement immédiat des villes de Gao, Bamba et Bourem et de plusieurs autres villages dans le futur.
Il va également permettre l’aménagement et la mise en valeur de 139 000 ha de terre de Diré à Ansongo, dont 3 200 ha pour la première phase. L’amélioration du régime du fleuve et sa normalisation ou encore la réduction de l’impact des déficits pluviométriques et la réhabilitation des écosystèmes. Si les travaux de la route Gao-Bourem-Taoussa connaissent une avancée satisfaisante, ceux du barrage et autres enregistrent un grand retard.
Mahamane MAIGA
Les participants ont également recommandé que soit résilié le contrat avec les entreprises chinoises et que des dispositions soient prises pour conclure un nouveau marché avec un prestataire. Ils ont aussi demandé, entre autres, la valorisation du pacte social entre les communautés et le maintien du renforcement des capacités de nos forces armées et de sécurité.
L’aménagement hydroélectrique de Taoussa est un ouvrage à but multiples qui concerne, entre autres, la production d’électricité avec le branchement immédiat des villes de Gao, Bamba et Bourem et de plusieurs autres villages dans le futur.
Il va également permettre l’aménagement et la mise en valeur de 139 000 ha de terre de Diré à Ansongo, dont 3 200 ha pour la première phase. L’amélioration du régime du fleuve et sa normalisation ou encore la réduction de l’impact des déficits pluviométriques et la réhabilitation des écosystèmes. Si les travaux de la route Gao-Bourem-Taoussa connaissent une avancée satisfaisante, ceux du barrage et autres enregistrent un grand retard.
Mahamane MAIGA